Popular Girl -rjs [terminé]

Chapitre 17

      Jacob Sartorius.
La semaine est passé tellement vite. J'ai réussi à éviter Noémie toute la semaine sauf en cours évidemment. Mais en attendant, j'ai pu rester avec Laurie tranquillement. Il est 16h33 et ça vient de sonner.

eh sartorius, tu viens toujours ce soir ? je passe te chercher. me dit Louis.

pas de soucis, demande mon numéro à Noémie. dis-je.
il asquiece et me tchèque avant de partir. Je sors mes écouteurs et met ma musique.
Une fois rentré chez moi, je monte directement dans ma chambre et prépare un sac dans lequel je met des affaires de rechanges puisque Matthieu m'a dit qu'on nous rangeons tout nos sacs dans une chambre fermé pendant la fête.

19h00.

inconnu: C'est Louis, je passe te chercher à 20h ça te va ?

j'enregistre son numéro et répond:

moi: niquel

Louis: okay à toute alors

moi: ouep à toute 

Je finis de manger et aide ma mère à faire la vaisselle. Une fois finis, je monte dans ma chambre me préparer. Je prends une douche, me sèche puis choisis ma tenue. J'enfile d'abord un caleçon puis un jean bleu ou vert je ne sais pas trop et je m'en fiches.

J'enfile une chemise noire avec des minuscules dessins blanc puis des timberlands noires. *média*

Je met un peu de gel, du parfum et du déo. Je regarde l'heure et vois qu'il est déjà 19h57.

J'enfile une veste en cuir noire et prends mon sac à dos avant de descendre. Quelques minutes après, la Porsche de Louis s'arrête devant chez moi. Je sors et me dirige vers la voiture.
Je monte à l'intérieur et Louis me tchèque.

Pendant le trajet on rigole et parle puis nous arrivons enfin. Cette fois, la fête ne se passe pas chez Mark mais chez Matthieu. Lorsque l'on arrive, pas mal de voiture s'y trouvent déjà. Louis se gare puis nous sortons. On se dirige vers l'entrée de la villa.
Louis ouvre la porte et entre. Je m'apprête à entrer mais j'entends un sifflement.
C'est quand même pas moi qu'on siffle ?
Une fille rousse me fait face. Elle me devisage de haut en bas en se mordant la lèvre. Lorsque son regard s'arrête sur mon visage je lève un sourcil.

t'es mignon toi. dit elle.

bordel elle pu l'alcool. La fête a à peine commencé ! Je souffle et rentre. Du coup j'ai paumé Louis. Qu'importe, je fais comme à la première fête: je me dirige vers le bar.

une blonde s'il vous plaît. demandais je.

il asquieces et va me chercher ma bierre.

une blonde pour te servir. entendis-je.
Je me retourne et fais face à une blonde, effectivement. Blonde aux yeux marrons, ça ne doit pas être rare mais j'en ai jamais vu jusqu'à maintenant.

quel humour. souriai je.

quel beauté. Ashley, et toi ? sourit elle.

Jacob.

C'est hot comme prénom dit moi.

C'est la première fois qu'on me dit ça. rigolai je.
on continue de parler jusqu'à ce qu'elle m'abandonne pour aller danser avec sa copine. Je commence à avoir chaud, pourtant je n'ai bu que 4 bierres.

princesse t'as abandonné ? me demande Noémie.

je pouffe et prends une gorgée de ma bierre.

c'est rien, moi je vais te tenir compagnie pour une fois. dit en se rapprochant de moi.

Je ne dis rien et elle se pose devant moi.

tu danses ?

J'hoche les épaules et elle pose son verre ainsi que ma bierre. Elle prends ma main puis me tire sur la piste de danse. La musique s'arrête et met un slow.
Mais c'est une blague ?
Noémie ne fait aucune remarque et passe ses bras autour de ma nuque. Je ravale ma fierté et pose mes mains dans le creu de son dos. Nos corps bougent ensemble, bien qu'ils ne sont pas si collés que ça.
Noémie est complètement calme, ça ne lui va pas du tout.

j'aurai jamais cru danser avec toi un jour. dit elle calmement.

à vrai dire, moi non plus.
elle me sourit sincèrement et niche sa tête dans ma nuque ce qui rapproche nos corps de plus en plus. Je mords ma lèvre inférieure lorsque je sens que nos corps sont complètement collés.
Je sens l'une de ses mains se noyer dans mes cheveux ce qui me provoquent un frisson de bonheur.

J'adore qu'on touche mes cheveux. Elle semble le remarquer car elle commence à les caresser.
Je niche mon menton dans sa nuque et ferme les yeux.
Elle masse mon crâne et me serre de plus en plus. La chaleur de mon corps augmente à une vitesse phénoménale et je vais bientôt plus pouvoir me contenir.

je te fais de l'effet ? me chuchote t-elle à mon oreille.

est-il vraiment utile que je réponde ? dis-je sur le même ton.
J'avoue qu'elle me fait un putain d'effect, je ne savais même pas que c'était possible.

pas vraiment non.
elle rigole légèrement et je fais de même. Elle continue de masser mon crâne. A partir de ce moment-là, ne me demandez pas ce qu'il m'a prit parce que sincèrement j en ai aucune idée.

Je dépose de légers baisers dans sa nuque et elle lâche un soupir près de mon oreille. Je continue tout en descendant près de son épaule.

Jacob.. Je vais pas me contenir.. gémit-elle à mon oreille.

Qui a dit que tu devais le faire. chuchotai je.

Tu l'as cherché.
Elle se détache de moi d'un coup, j'en attrape même froid. Elle tire ma main m'emmenant sûrement à l'étage. Étant derrière elle, je ne peux m'empêcher d'admirer ses formes.
Voilà seulement que je m'en rends compte qu'elle est putain de bien foutue. J'ai l'impression de devenir pervers, c'est une idée ?

Nous montons les escaliers qui mènent à l'étage des chambres puis elle ouvre la première porte qui vient. Elle la referme en riant et je ne peux m'empêcher de rire en pensant à ce qu'elle venait de voir. Elle toque à la seconde et personne ne répond, elle entre donc puis je fais de même. Elle referme la porte puis la verrouille et dès qu'elle se retourne je la plaque contre la porte puis embrasse sa nuque.
Elle pousse à nouveau un soupir et passe sa main dans mes cheveux tout en collant nos corps ce qui augmente la chaleur en moi.
Je l'entends enlever ses talons sans bouger, je fais de même avec mes chaussures puis elle me repousse légèrement.

Elle colle nos fronts et nous nous regardons droit dans les yeux.

es-tu sûr ? demande t'elle d'une petite voix.

pourquoi tu me poses la question ? tu crois que je suis un enfant ou quoi ? dis-je en riant.

non, parce que y'a de ça une semaine tu me disais que jamais tu coucherai avec moi. dit elle.

elle l'a dit tellement bas que j'ai du tendre l'oreille pour l'entendre. Est-elle gênée ?

c'est du passé. dis-je simplement.
le fait qu'elle m'ait stoppé pareillement m'a fait réfléchir mais en ce moment même, je m'en fiche.
J'ai envie d'elle, là, maintenant, tout de suite. Elle m'a beaucoup trop fait attendre déjà. 

Elle me sourit et dépose timidement ses lèvres sur les miennes. Notre baiser devient de plus en plus dur et sauvage. Elle prends mes mains qu'elle pose dans son dos. J'ouvre donc sa robe et la laisse tomber au sol. Elle détache ses lèvres des miennes mais les recollent aussitôt après avoir déboutonner ma chemise.

Elle me tire contre elle, et colle nos sexes ensemble puis se frotte contre moi. Je me sens durcir et je deviens serré. Elle se décolle un peu et pose sa main sur ma partie. Elle sépare nos lèvres et s'abaisse avant de défaire ma ceinture et de baisser mon jean. Je mord ma lèvre, elle se relève puis j'enroule ses jambes autour de ma taille et la porte jusqu'au lit.