#874 dans fan fiction : 6 janvier 2018
#594 : 9 janvier
#329 : 22 janvier
#4 : 6 juin
Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine...
#Reylo #Star Wars #Ben Solo #Rey
Merci à @EmilySolo pour la couverture !
Rangeant avec soin le coffre où se trouvent mes souvenirs, je fais mine de rester fort malgré les circonstances tristes de la mort de ma mère. Je n'aurais jamais du ouvrir cette boîte aux trésors. Je regarde mes habits portant le deuil en ôte mon haut laissant mon torse faire face au mur. Les mille-et-une blessures ne sont plus apparentes. - Pourquoi tu haïssais ton père ? Je sursaute et me retourne.
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Le lien cérébral créé par la Force avec la jeune fille continue contre mon gré même si sa compagnie ne me laisse pas indifférent. Voyant mon torse découvert, Rey rougit et détourne le regard. - Tu n'a rien à te mettre une cape ou je sais pas... Une tunique ? Silence. - Pourquoi est-ce que tu le détestais ? Réponds moi essai d'être honnête ! Tu avais un père qui tenais à toi un père qui t'aimais beaucoup ! - Je ne le détestais pas. - Alors pourquoi...?! - Pourquoi quoi? La jeune pilleuse reste sans voix mais me regarde comme personne ne m'avais jamais regardé: en attente d'une réponse qui l'a ronge. - Pourquoi quoi? Dis-le, dis-je d'une voix douce qui vient même à me surprendre. - ... Pourquoi l'as-tu tué ? Pourquoi as-tu tué ton père ? Je ne comprends pas... Ne cherchant pas à répondre à cette question je l'évite en me ruant sur ses problèmes. - Non... T'es parents se sont débarrassés de toi petite. - Non ! - Si. Et pourtant ils te manquent, c'est ta grande faiblesse. Tu les vois partout : en Han Solo et maintenant dans Skywalker. Il t'a dis ce qu'il s'est passé cette fameuse nuit ? - Oui, dit-elle en un mensonge. - Non, continuais-je gravement. Je prends alors une grande respiration et raconte l'horrible scène où j'ai détruit le temple cette nuit là. - Il a senti mon pouvoir, comme il sent le tient. Il en a eu peur. - ... Menteur... - Laisse mourir le passé. Tues-le s'il le faut. C'est comme ça que tu deviendras qui tu es vraiment.
