Une journée difficile

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     Le lendemain matin, je me réveilla tranquillement, lorsque tous à coups je me rendis compte que j'avais encore cours aujourd'hui. Malheureusement, la rentré était déjà passé je devais donc réhabitué au rythme scolaire.

     J'entendis alors : " Quoi ? Je n'ai pas le droit de sortir avec mes copines ce soir après les cours. C'est quoi ce père qui s'occupe que de son petit fils..." Environ une fois par semaine, j'avais le droit au petit-déjeuner ou dés le réveille a ce genre de dispute.

   Je me prépara rapidement pour aller en cour. Je me dépêcha pour ne pas être encore en retard. Mon père nous dépause tous les trois en cours cette fois ci, heureusement, j'arriva à l'heure. Miracle qui ne se produit qu'une fois tous les trois ans.

   J'entra dans la cours, localisa  Anthony et j'alla vers lui. Lorsque tout à coups, je vis débarqué Louann qui passa devant moi et me dit: " C'est toi la nouvelle petite amie d'Anthony ?" Je rougis, les collégiens qui avait vu la scène se rapprochèrent de moi et commencèrent à rigoler. Anyhony arriva, ils commencèrent alors à crier "Oh, les amoureux ! Oh, les amoureux !" Certains ajoutèrent même : "Oh, la connasse !

   - Oh, la pétasse!

   - Oh, l'enfoiré !

   - Oh, la pute !

   - Oh, le fils de pute!"

   Heureusement, au bout de cinq minutes, tous ce cirque fus couper par la sonnerie des cours qui commençait comme la journée.

  Je connais le fonctionnement des rumeurs, elles se propagent comme une traînée de poudre, une fois lancé on ne peut plus les contrôler. C'est ce que Louann a fait et je sais d'avance que le plus dure est à venir. Le seul moyen de luter contre c'est de l'humilier et pas de nous laissée marcher sur les pieds. Toute contente de mon idée j'hurla en oubliant où j'étais :" Yes

   - Mademoiselle ...

   - Emma Boulettes

   - Pourquoi, avez vous criez comme cela au milieu de mon cour, me demanda Mme Erikala, ma prof de maths.

   - Euh... je... ne... ne... sa... sais... pas... pas, bégayais-je.

   - Vous le serez mieux dans le bureau du proviseur. Louann, tu l'accompagnes.

   - Avec plaisir madame, lui répondit Louann.

  - Ma...mada...me, s...il...vous...plaît, la suppliait-je.

  - Je vous met en prime 2 heure de retenu pour votre insolence."

   Je fis la tête mais alla dans le bureau du proviseur. Sur le chemin Louann me dit : "Tu sais que c'est pas bien d'aller dans le bureau du proviseur encore moins dés la première semaine."

   Je ne lui répondit pas au contraire, je l'ignora. Je me demandait dans quelle pétrin je m'était encore fourrée.

   On arriva devant le bureau de la secrétaire. Louann toqua a la porte. Elle nous répondit : " Entrez". On ouvrit la porte et entra dans son bureau, elle demanda : " C'est pour voir le proviseur ?

   - Oui, répondit Louann.

   - Je te fait un mot pour ton professeur et tu retourne en cour.

   - Oui, merci, déclara Louann."

    Une fois Louann parti j'attendis dix minutes que la porte du bureaux du proviseur s'ouvrit. Et la secrétaire me fit signe d'entré dans son bureau. Et là je le vit.

   J'entra dans le bureau du proviseur qui me dit très sèchement : " Asseyez vous !"

   Une fois que je m'était assise. Je le dévisagea. Au bout d'un moment, il me dit : "Il y a un problème là. Vous êtes nouvelle, vous êtes dans cette école depuis un jour et demi et vous vous êtes déjà fait remarqué. Vous êtes sur la 7 vitesse dans une monté. Ça ne va pas du tout. Alors je vous met trois heures de retenue en plus de toutes le heures qu'on vous déjà donné. Et vous avez intérré à vous tenir à carreaux. Pendant les deux dernier jour de la semaine. Sinon vous allez finir doper car la vie c'est le cyclisme."

  Je murmure un : "OK" en voyant le proviseur et sa façon de ce soucier des vrais problèmes. C'était nullisime. Moi qui déteste le sport, mais le vélo c'est vraiment le pire. Alors, autant vous dire que je n'ai rien compris. Mais il me coupa dans mes pensée : " Comment ça que *OK* je préfère *merci mon cher proviseur à ce propos j'adore le sport surtout le vélo* ou encore *je vous aime cher proviseur dans votre passion du vélo que vous transmettez si bien a vos élèves* vous pouviez dire *j'aime pas le vélo mais je vais faire un efforts pour comprendre de quoi vous me parler* sans oublier *je vous aime vous êtes magnifique, vous êtes mon héros * * Wech, Christopher Froom sa roule* vous comprenez le jeu de mot, sa roule le vélo et sa roule sa va bien. (ah,ah...) Qu'est ce qu'on rigole avec vous. *Oui,.....mons....monsieur...le...proviseur.... * celui qui me fait le plus rire c'est *monsieur Tenure, ai-je bien appris ma leçon... car je n'ai eu que 19,5 au contrôle et j'ai fini dans votre bureau*. Enfin, vous comprennez ce que je veux dire, un OK ne suffis pas.

  - Merci, monsieur. Au-revoir, monsieur.

  - Et que je ne te vois pas de sitôt dans ce bureau. Sinon, je ne te donnerais pas un coup de pédale."

  Je sorti du bureau du principal, tandis que le proviseur éclaté de rire a ça propre blague qui n'était franchement pas drôle.

   Quand je sorti du secrétariat, je me dirigea vers ma salle de classe mais la cloche sonna. Et me rendis dans la cour, où je retrouva Anthony sur notre banc. Mais il était suivi par une foule de groupie, que heureusement je ne connaissait pas. Mais pourquoi heureusement, il ne faut pas que je leur donne raison et que je tombe amoureuse de lui. "Ressaisi toi" me dit-je. Si tu leur donne raison, tu es foutus, tout comme ta vie.

  J'interrompis ma réflexion en voyant qu'il me parlait, et je distingua : " Aide moi ! ... partir ... folles ! ". Naturellement, je l'aida à ce débarrassée de cette emprise. Ce qui me valu plusieurs remarque assez désagréable. Mais, bon, j'étais prête a tout pour sauver mon ami, car l'amitié c'est sacré.

   Le reste de la journée ce passa sans grand événement. Hormis le sketchs habituelle de mon petit frère pour le repas mais sa j'en avais l'habitude.

Un secretWhere stories live. Discover now