19 mars :
Ça y est, une nouvelle journée qui commence ! Aucun zombie en vue depuis ce matin, pourvu que ça dure. J'ai demandé aux sœurs si elles voulaient bien me raconter comment elles s'en sont sorties pour en arriver là. Elles ont été d'accord, donc voilà.
Moi : Déjà, vous étiez où quand tout à commencé ?
Jamila : Myriam était en poste au Macdo de la Reynerie et moi dans un quartier tranquille pas très loin.
Moi : Comment vous avez su ce qui se passait ?
Jamila : vers 15 heures j'entendais des hurlements dans ma rue. J'ai regardé par la fenêtre, et là, une femme venait de se faire attraper par une dizaine de personnes qui commençaient à l'étriper.
J'étais partie dégueuler dans les chiottes. Quand je suis revenue à la fenêtre, ils étaient toujours là mais la femme qui s'était faite bouffer était à nouveau sur pied mais...les tripes à l'air et un bras en moins. Je trouvais ça vraiment chelou, je commençais à croire à un mauvais rêve. L'un d'eux ma vue et s'est mit à courir vers moi. J'ai reculé instinctivement, et là, une voiture s'est prit un mur ou je sais pas quoi mais ils ont tous détalé vers le bruit, sauf celui qui m'avait vue et qui tentait de casser la porte fenêtre en fonçant dessus. Elle a finit par s'éclater et il s'est vautré littéralement par terre. Il s'est relevé d'un coup et s'est jeté sur moi. Je lui est pris les épaules et j'lai balancé sur la table basse derrière moi. Après, j'ai fonçai dans la cuisine en claquant la porte. Deux secondes après, il tapait déjà dessus comme un fou. J'ai prit un couteau au hasard dans un tiroir. Il est entré et m'as attaquée direct. Je l'est planté dans la poitrine avant de le plaquer contre le mur. Il faisait peut être une tête de plus que moi mais crois moi j'ai de la force ! Tout en gardant mes distances, je le tenais d'une main et de l'autre j'arrêtai pas de le planter comme une dingue, il voulait pas crever ce con ! Il sentait quedal! Je lui est empoignée le haut des bras avant de le jeter sur la table, après je lui est prit la tête et j'l'est tapé violemment dessus. Il essayait de se retourner mais je le bloquais avec mon coude. Ensuite je l'est mis à terre et l'est roua de coups de pied dans la gueule. Il était déjà très affaibli. Du coup, j'en ai profité pour prendre mon grille pain que je le lui fracassa sur le front, puis j'ai fait pareille avec tout ce qui me passait sous la main, assiette, cendrier puis table à découper . Il était enfin mort cet enculé! Mon cœur battait à fond, j'étais grave enragée aussi ! Qu'est-ce qui me voulait ce mec ?! Bon, maintenant je sais que c'est un virus et tout et tout mais là, pour moi, j'avais à faire à un mec sous trance ou je sais pas quoi. Mon téléphone a sonné dans le salon, j'ai sursauté comme une folle à ce moment, c'était ma petite sœur qui m'avait envoyé un texto.
Moi (à Myriam) : Là ou tu travaillait ?
Myriam : Ouais... c'était horrible ! En fait, ça a commencé par un mec à une table qui s'est évanoui vers midi. Une collègue était venue le voir, je regardais la scène du coin de l'œil en servant un client. On a appelé le SAMU mais ça répondait pas. Trois volontaires l'on porté dehors avec ma collègue et je voyais tout par la fenêtre. Je...je me souviens de chaque détail. Je prenait la commande d'un client et quand je regardait à nouveau à l'extérieur , j'ai vue le mec qu'on tentait de réanimer se redresser d'un coup et mordre à la gorge le mec le plus proche qui s'est mit à gueuler et tout le monde dans le Macdo s'est tourné vers eux sans rien dire. Les deux autres volontaires essayaient de le dégager mais ils aurait due rien faire parce que quand ils l'ont tiré, sont sang s'est mis à giclée comme un gesere de sa gorge. Ma collègue...elle reculait, elle ne savait pas quoi faire. Ensuite le gars qui venait d'être mordue il... il est devenue fou à son tour et s'est attaqué aux autres. Une femme, sortie de nul part s'est jeté sur ma collègue par derrière. Putain ça me fait chialer...excuse moi mais...c'était une super pote... Les deux autres volontaires eux, étaient déjà mordues et transformés et couraient vers la porte du Macdo. Ils sont entré et se sont jeté sur tout les clients. A ce moment c'était la panique, tout le monde à tenter de se barrer en vitesse vers la porte, mais y'en à vingt autres qui sont entré à leur tours. Ils mordaient les gens un par un, tout le monde hurlait et courait dans tous les sens...du sang giclé de partout...Moi, j'étais paralysée par la peur. Je ne comprenais rien à rien ! Les gens tombé à terre puis se relevé et s'en prenait à leur tours aux autres. Quand j'ai enfin pue sortir de ma...paralysie, je m'aperçut qu'un gars avec qui je travaillait courrait vers moi, du sang plein la bouche, mais un autre de mes collègues l'as stoppé net en le frappant avec la caisse. On s'est regardé l'espace de quelques seconds, puis un zombie s'est jeté sur lui et l'as propulsé à terre sur le côté. J'ai soudain reprit mes esprits puis d'un élan de survie j'ai sauté par-dessus le comptoir et j'ai courue comme une dingue vers les toilettes pour me planquer, en criant, un zombie s'est mis à me courser, j'lui est fermé la porte dessus et je me suis enfermé à clé dans un toilette. Puis, tous les cris du Macdo se sont soudain arrêté et la porte d'entrée des toilettes s'est ouverte dans un grand bam ! J'ai retenue mon souffle, je me suis forcée à arrêter de chialer pour pas qu'on m'entende.
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Le journal
ParanormalL'histoire d'un jeune punk de 17 ans à tendance dépressive qui se retrouve confronté à l'apocalypse zombie et qui relate dans un journal ce qu'il vit. J'ai fini l'écriture il y a déjà deux ans, je compte m'inspirer du même personnage principal pou...