Why the death exists?

Épisode 15

Il était tard, demain c'est une journée riche en émotion, ma sœur se fait opérer.
Je stresse à en mourir, je n'y ai pas pensée ces derniers temps, mais là ça commence petit à petit a venir.
Donc je décide d'aller me coucher, en ne fessant pas trop de bruit.

Le lendemain matin,
Je me lève tranquillement, je suis partis faire mes choses de d'habitudes, (déjeuner, toilette ect..)
Puis je décide d'aller réveiller ma sœur, pour qu'elle aille se préparer, pour ensuite partir à l'hôpital.

Je passe ma main dans ses cheveux, en lui disant avec une voix douce
-réveille toi mon coeur, faux que tu aille te préparer.

Donc elle ouvre à moitié ses yeux, et me fait un câlin.
-bien dormis ? Que je lui dis
-très bien et toi ? Sa été ton rendez vous galant?
- bah écoute très bien, on sait même embrassé

Elle se relève d'un coup du lit.
-mais j'y crois paaas!!! Dit-elle

Et je rigole.
Elle était vraiment contente de moi.

Quelque heure plus tard, elle était enfin prête, je l'accompagne avec ma tante Karine.

Nous arrivions à l'hôpital.

-bonjour mesdames ?
Vous venez pour quoi? Dit le médecin.

-ma fille se fait opérer, d'un cancer du sein, nous avions rendez vous aujourd'hui, s'exclame Karine

(Comme je vous ai dis elle nous considère comme son enfant)

-d'accord patiente quelque minute, ma collègue, va venir vous chercher.

Donc, nous somme partit dans la salle d'attente attendre.
Nous étions stressé et impatiente.

Le médecin s'approche de nous !
-vous êtes madame haie ?

( oui c'était notre nom de famille, je ne vous avez pas précisé)

-oui, ma fille est la {en montrant du doigt Leila, s'affirme
Karine

-d'accord, venez avec moi Leila .

Leila, nous fessait un câlin, et partait.
J'étais vraiment stressé, mes mains devenaient moite, je transpire, je pleurais.
Je bougeais vraiment dans tous les sens

On devait attendre 2h avant qu'on la voie.

Je me levais de la chaise, je bougeais dans tous les sens.
J'étais incapable de m'arrêter.
-Lisa, assis toi s'il te plaît.
-non, je vais pas attendre assise, en attendant qu'elle se fasse opérer.

On se disputait, car je ne voulais pas m'assoir, et parce que je stressais de plus en plus.

Quand le médecin arrive.