{OS Errink} Un jour comme un autre {LEMON}

Un jour comme un autre

(Avant de commencer: NDA!

J'avais bien envie de faire une petite fanfic Undertale et plus, particulièrement Errink, mais je n'avais pas d'idée. Heureusement, un RP improvisé est partit d'une discussion avec Shimy59 et je compte bien m'en inspirer. Note à toi, amie wattpad, je ne vais pas réécrire mot pour mot notre RP mais un peu développer sinon personne ne va comprendre.

Dans notre RP, elle jouait Ink et moi Error, mais je vais faire par PDV.

Et n'oublies pas que toi aussi, Shimy, tu dois le faire sur notre second RP improvisé! X)

Oui, je suis chiante. Je sais et j'assume.)

PDV Error:

Toujours la même chose.

Jour pour jour.

A chaque fois.

Dès que j'essaye de vain de détruire l'une de ces saletés d'AU qui pourrissent le monde, cet imbécile de peintre vient m'en empêcher.

Toujours la même chose.

Jour pour jour.

Des menaces, des disputes, et l'on fini a chaque fois par se battre.

Toujours. Toujours...

Parfois, je me dis que l'un d'entre nous finira par s'en lasser, mais pourtant, rebelote. (Nda: j'aime ce mot.)

Et encore une fois, comme toujours, je me retrouve à me battre avec ce petit squelette coloré et inconscient qui me sert d'ennemi. Pathétique...

Ink est tellement... pathétique.

Ink: Et bien Error, tu rêves?

Il m'envoie une giclée de peinture mauve.

Moi: Je me demandais juste à quel moment tu comprendrais que tu ne peux rien face à moi. Je vais te battre, une bonne fois pour toute. Tu vas perdre, Ink, arrêtes de résister en vain.

J'ignore pourquoi, mais ce que je lui dit le fait éclater de rire.

Ink: Tu espères que je vais abandonner?

Moi: Bien sûr, imbécile! Tu ne sais pas à quel point ça me soûle de me battre avec toi!

Je rêve ou... il sourit?

De chacun de ces conflits, personne ne sort généralement gravement blessé. Je ne sais pas si je dois en être heureux, ou au contraire m'en désoler.

Une fois, j'ai vraiment blessé Ink.

Quelques uns de mes fils avaient traversés sa défense, pour venir le toucher à l'épaule et aux cottes.

Quand j'ai vu son sang s'échapper de ses blessures, quand je l'ai vu s'effondrer au sol en gémissant, je me suis senti affreusement mal.

Je n'ai pas supporté cette vision un instant de plus, et me suis enfuit.

Quand j'y repense, maintenant, je me dis que j'ai été stupide.

J'aurais pu l'achever, j'en avais l'occasion!