dos

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Tu aimes découvrir quelques parties de ton corps lorsque le soleil pointe le bout de son nez. Ton dos en fait partie.
Tu le découvres souvent en été, le laissant s'imprégner des rayons du soleil afin qu'il devienne un peu plus caramélisé que d'habitude.

Lorsque tu t'installes dans mon salon, devant ta toile accompagnée de tes peintures en tenue légère, je ne peux m'empêcher de laisser mes doigts parcourir ta colonne vertébrale.
Ta peau est, à quelques endroits, recouverte de petites taches blanches dues à une dépigmentation. Et, à d'autres endroits, de quelques formes brunes laissées par de petits boutons de ton adolescence.

Tu as eu du mal à aimer ton dos, comme certaines autres parties de ton corps. Peut-être est-ce grâce à mes attentions, mes baisers et mes mots doux que tu acceptes peu à peu ces parties de ton corps.
Ton dos est doux. Aussi doux qu'un nuage, aussi beau qu'un rayon de soleil, aussi attrayant qu'une rose jaune et plus attirant qu'un mirage.
Ta peau est aussi délicate que du coton.
Mon cerveau ne peut fonctionner normalement te voyant et mes doigts ne peuvent quitter la douceur de ton dos.

Tu aimes peindre assise sur le sol en plein milieu de mon salon, habillée d'un haut court et d'un short.
J'aime m'asseoir derrière toi, m'amuser avec tes cheveux et ton dos. Je te pique souvent ta peinture pour créer une œuvre d'art sur la peau découverte que ton tee-shirt laisse apparaître.
De légers frissons traversent ton corps lorsque mon pinceau recouvert de peinture entre en contact avec ta peau. Légers certes, mais ils ne passent pas inaperçus à mes yeux.
Tes frissons s'accentuent souvent lorsque mon souffle se cogne à la peau de ta nuque. Mes lèvres posées contre ta nuque se courbent souvent en un sourire après cette douce constatation. Tu me donnes toujours un coup de coude dans les côtes, me disant que ce sont les courant d'air qui te provoquent cela. Tes excuses me décrochent à chaque fois un rire, sachant pertinemment que ce sont mes attentions qui te font frissonner et non les courant d'air inexistant d'été.
Je m'amuse souvent à décorer ton dos d'acrylique reproduisant les magnifiques couleurs de la galaxie dont ses nombreuses étoiles et les puissantes planètes. Tu aimes plus que tout lorsque je laisse mon imagination déborder sur ton corps entier et particulièrement sur ton dos.

Mes œuvres sur ta peau finissent toujours par être prise en photo grâce à mon appareil photo instantané.
Je les accroche toujours les unes à côté des autres au plafond de ma chambre, qui est presque la nôtre tant tu te l'appropries.

Je me couche toujours en ayant la superbe vue de ton corps recouvert de mes œuvres.
Ton dos est une douce magnificence exceptionnelle.

doux sentimentsOpowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz