XI

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PDV Evangelyne

D'abord il me donne un surnom, j'ai alors l'impression de compter pour lui et finalement il me traite comme une merde ? MAIS C'EST QUOI SONT PROBLÈME ?!
Je lui en veux tellement, le pire c'est que je ne comprends pas se que j'ai bien pu faire pour mérité un tel traitement haineux alors que je l'aime comme une dingue. C'est peut-etre sa le problème, mes sentiments surdimensionné pour lui.

Newt aussi semble contrarié par se que j'ai dis, mais très honnêtement sa bien égale en ce moment.

Je commence à marcher comme je peux, je ne sais où je vais mais sa me laisse complètement indifférente, tout se que je veux c'est m'éloigner de lui le plus possible.

- Ou es que tu vas ?

Je l'entends marcher derrière moi, il a décidé de me suivre à première vu.
Sa voix semble légèrement sur les nerfs, sa va être comique la route je le sent.

- Loin, très loin. Dans une contrait interdite au homme du nom de Newt.

Il eu un léger rire, se qui -contre ma volontée- me calma un tant soit peu.

- Je suis pas sur que sa existe.

Sa voix rit et j'imagine déjà un des ses sourire en coin. Ne pas craquer, ne pas craquer, NE PAS CRAQUER !

- Je m'en fiche pas mal.

Je sais qu'il a remarqué mon radoucissement, je dirais bien que sa m'énerve mais c'est faux, j'en est marre d'être si faible face à lui.

Je poursuis mes pas toujours à deux doigts de tomber sur le sol. Et puis l'inévitable chute arriva, je perdu l'équilibre et tomba. J'attends le choque avec le sol, mais rien, j'ouvre les yeux et réalise que Newt ma rattraper de justesse. Je tourne la tête pour mettre mes yeux dans les siens.

- C'est pas sérieux dans ton état.

Sa voix est douce, et son visage impassible.

- Arrêt sa.

Je tremble plus que jamais, Newt me redresse et m'affiche un aire d'incompréhension.

- Sa quoi ?
- De me mettre sous ton emprise, je fais tout pour éviter ce qui va arriver.

Visiblement il ne comprend toujours pas, il fait dire que je vais avoir du mal à lui expliquer, c'est assez complexe.

- De quoi tu parles ?
- Sa n'a pas d'importance, parce que je pars, sans toi, et je ne reviendrais jamais.

Newt semble à mis chemin entre l'agacement suprême et la colère divine.

- Il ne faut jamais dire jamais.

Je lui tourne le dos et commence à vouloir partir, mais il en a visiblement décidé autrement. Newt me dépace et viens se poster devant moi.

- Tu crois sérieusement que je vais te laisser partir sans rien faire ? Et sans rien dire ?

On commence à se rapprocher de la colère divine.

- Bah en faite ta pas le choix.

Je pensais - non j'espérais en faite - qu'il lâche l'affaire et me laisse partir sans rien dire, mais c'était une stupide illusion de ma part.
Il m'attrape par les bras et me regarde de ses yeux noirs de colère, de rage et de haine même.

- Si je l'ai, et tu sais pourquoi ? Parce que toi et moi on est lié, et ceux pour toujours. Je sais que tu préfères Thomas, mais je t'aime quand même, et je ne lâcherais pas l'affaire.

Ho mes dieux, qu'es qu'il n'a pas dit la, non pas que sa me déplaise -bien au contraire- mais j'aurais préféré qu'il ne le face pas.
Maintenant la tentation et mon envie n'est que trop grande, j'attrape sa nuque et l'attire vers moi pour l'embrasser avec passion. Il me rend mon baiser et me prend dans une forte étreinte. Il fini par se détacher, il colle sont front au miens et je me sens en sécurité, comme à chaque que je suis en contact avec lui d'ailleurs.

- Tu ne partira pas, pas sent moi, je ne peux pas me passer de toi.

Je sais se que tu ressens, je vie la même chose mais je ne parviens pas à te le dire.

Newt me reprend dans ses bras et reprend sa marche vers le camps. Je place mes bras autour de son cous et pose ma tête sur son torse, puis je sombre dans un monde paix ou mon amour avec Newt est une chose possible.

Le bruit des oiseaux et de la mer me sors de mon sommeil de plomb. J'ouvre les yeux pour vois le visage de Newt juste en face de moi, ses traits détendu et sa respiration lente me réconforte, lui aussi semble dans un sommeil de plomb, ou alors il est dans le coma.

Je me lève et sors à l'extérieur, a peine posais-je un pied à l'extérieur que Térésa saute dans mes bras.

- Sa y est tu est enfin réveillé ! Je me suis tellement inquiété pour toi si tu savais !

Son enthousiasme me fait chaud au coeur, Térésa tiens à moi, des personnes m'apprécie, j'en est tellement rêvé.

- Fallait pas.
- Si au contraire, tu comptes beaucoup pour moi tu sais.

Je souris et baisse la tête ne sachant pas quoi faire d'autre.

- Viens Thomas veux te voir.

Mon frère veux me voir ? J'ai peur qu'il soit en colère.

Térésa me prend par la mains et m'emmene au lieu de "rendez-vous". J'en profite pour observer ma jambe mise dans un bandage, je ne ressens plus aucune douleur.

- Qui c'est occupée de ma jambe ?
- Moi.

Je regarde Térésa et sourit, c'est vrai qu'il était biologiste, elle a donc des connaissances en médecine.

Nous finissons par arriver dans la tente de mon frère, se dernier est assis sur son matelas. Il lève la tête en nous entendant arriver. Thomas se lève et vient me prendre dans ses bras.

- Je sais que je ne me souviens quasiment pas de toi, mais tu reste ma soeur, et je t'aime quand même envers et contre tout.

A ses mots je répondis à son étreinte et autorisation quelques larmes à couler le long de mes joues.

- Thomas, Térésa je suis désolé mais j'ai quelques chose de très important à vous avouer, a vous et à Newt. Je ne vous est pas tout d'y sur moi et mon retour d'entre les morts.

Les deux amants s'échange un regard et reporte leurs attention sur moi.

- Ont t'écoute.

Aller c'est à moi de jouer on dirais.

Labyrinthe : les retours des mortsDonde viven las historias. Descúbrelo ahora