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S  A L A M   -    A L E Y K U M






















A     Y     E     M
aéroport, Orly.Dix-huit heure.


On venait de quitter l'aéroport j'avais toujours le téléphone de Reda avec moi, lui il est parti prendre un taxi alors je me suis assise et j'ai attendu quelque minute qui me paraissait très longues à mon goût.

Je vois qu'ici à Paris le temp n'es pas vraiment au rendez vous, par rapport à Medellín.Je vois vraiment la différence mais ici je me sens en sécurité on va dire.

Le téléphone de Reda vibre sur un iMessage, je fronce les sourcils en regardant l'écran qui afficher "Emilia".J'hésite vraiment à l'ouvrir et si je le fais il va s'en apercevoir.

Mon coeur commence à battre très fort je m'attend au pire et mon coeur se déchire..

Je retourne le téléphone et commence à paniquer, je Souffle un bon coup et ferme les yeux.Je pense l'ouvrir plus tard dans la soirée quand il l'aura ouvert lui.Je vais éteindre son téléphone comme sa il ne pense pas que j'ai vu le prénom.

Je sais je suis très intelligente.

Je l'éteint et regarde autour de moi en me mordant la lèvre, j'hésite à m'enfuir et partir voir Selim.

Mais quand je suis avec Reda j'oublie toute ces petites choses, j'oublie que peut-être...derrière se doux visage se cache un méchant..Un peu comme Samir..

Je sens une main se poser sur mon épaule alors je me retourne et vois Reda avec deux croissant.

Reda-Viens c'est bon, y'a un taxi juste pour nous.

Il me tend le paquet qui contenais les croissant et je le prend.

Moi-C'est loin Bruxelles?

Reda-D'ici? Un peu.

Moi-Aah...ok.

Reda-Ta quoi?

Il fronce les sourcils et regarde son téléphone.

Moi-Ton téléphone c'est éteint alors que je regardais Narcos...

Reda-*Rire*Deviens pas une accro des séries.

Moi-Non ne t'inquiète pas.

Je le regarde de haut en bas puis me lève pour le suivre.

Arrivée  devant le taxi, il prend nos valise et les met dans le coffre je me met derrière et Reda côté passager il parlait plutôt bien pendant le trajet.Moi je cogitais un peu par rapport au message..je sais plus quoi faire en faite.

De toute manière je suis à bout donc si ils veulent m'achever c'est le moment.

La nuit tombe et on venez de s'arrêter dans une station service, Reda étais sorti et avais laissez son téléphone.

Le conducteur-*Sourire*Vous inquiétez pas madame nous arrivons dans quelque minute.

Moi-*Sourire*Ah oui merci.

A Y E M |  Femme d'une vitrine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant