~ Un départ précipité mais nécessaire ~

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Coucou les gens, j'espère que vous allez bien ! ^^ On se retrouve aujourd'hui pour chapitre huit de cette fanfiction ! J'espère qu'il vous plaira et que le chapitre précédant vous a plu :)

Je ne sais pas vous, mais moi je suis enfin en vacances ! Bonne chance et gros bisous à ceux qui passent leurs examens <3 :)

N'hésitez pas à me laisser une reviews à la fin de ce chapitre, ça me fera très plaisir ! :D

Bref !

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Bonne lecture !

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Chapitre neuf : Un départ précipité, mais nécessaire.

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PDV Antoine

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La neige qui couvrait les rues de Nantes quelques jours plus tôt avait désormais totalement disparue, ce qui me chagrinait légèrement : j'aimais beaucoup la neige. Certes, les adultes de mon âge n'avaient plus le temps de jouer dehors en hiver, mais je gardais un très bon souvenir de mes après-midi à m'amuser dehors à faire des bonhommes de neige, des batailles de boule de neige ou des igloos.

Il était environ seize heures trente et je rentrais chez moi après une journée de cours habituelle. La routine quoi, rien de vraiment très spéciale ne m'était arrivé depuis l'entretien que Mathieu et moi avions passés avec la vieille Walzy. Aujourd'hui, quand je repensais à ce moment vécu avec la vieille femme, je souriais d'amusement. La dame âgée s'était montrée très compréhensive avec nous, et n'avait même pas haussé le ton. J'avais été étonné de son indulgence, et rien que pour sa bienveillance, elle était devenue instantanément mon professeur préféré.

J'arrivais devant chez moi au bout de plusieurs minutes : j'avais beau aimer l'hiver, je préférais rentrer en bus plutôt qu'à pied, surtout lorsqu'il faisait aussi froid qu'aujourd'hui. Je posais ma main sur la poignée de porte, et entrais dans ma maison.

Je fus accueilli par les cris de mon père et de ma soeur. Je fus étonné de voir que ces deux-là communiquaient à nouveau, même si c'était en criant. Je fronçais néanmoins les sourcils, et posais calmement mon sac à terre avant d'enlever ma veste. Mon père n'avait pas parlé à ma petite soeur depuis deux ans, que c'était-il passé pour qu'ils en arrivent là ?

« DE TOUTE FACON TU M'AS JAMAIS AIME !

- TAIS-TOI ! TU PARLES COMME TA MERE !

-PEUT-ÊTRE PARCE QUE MAMAN AVAIT RAISON ! »

Un bruit sec et un cri de douleur retentit, suivit de pleurs. Paniqué, je me précipitais dans le salon, où mon père était en train de gifler ma soeur. Assise par terre, recroquevillée contre le mur, Madeleine, les bras tendus, essayait désespérément de repousser mon père. Ce dernier, vêtu de son bas de pyjama, d'un débardeur plein de sueur et d'un peignoir claquait la tête de ma soeur.

Une vie de chien Where stories live. Discover now