la femme ,le royaume et les enfants OS

La femme,le royaume et les enfants

La femme, le royaume et les enfants

Cette histoire se passe dans un royaume heureux il y a des siècles de notre air. Dans son château vivait un roi et une reine. Un jour ils eurent deux enfants, deux garçons parfaitement diffèrent. Un jour lorsque qu'ils avaient 11 et 8 ans leurs mère mourut et une mystérieuse femme apparut de nul part. Celle-ci alla voir le roi, toujours dans sa dépression. Le plus jeune des deux les surpris et alla directement prévenir son ainé. Ainsi ils espionnèrent tous les deux la conversation de cette femme et de leur père. Après une bonne demi-heure la femme est sortie de la salle. Les enfants purent observer un peu mieux la grande femme elle était grande et elle avait les cheveux noirs et les yeux claire. Le petit pris peur et alla se cacher derrière sont frère qui lui était plutôt curieux et impatient de retrouver son père. Quelque minute plus tard il sortit, et il avait très heureux. Ce n'était pas normal. C'était comme si cette femme l'avait changé et cet ainsi que les deux petits garçons commencèrent à mener leur enquête. ***Ils interrogèrent d'abord leur père :

-Père dit, c'était qui cette femme ? dit le blond

-Elle est très étrange ! dit le second

Ce à quoi leur père leurs répondu :

-les enfants Irène est ma nouvelle bien aimé

-QUOIII !!!!crièrent les deux enfants

Leur père s'énerva un peu de cette réaction qu'il jugeait sans intérêt et s'écria :

- Je ne vous demande pas votre avis ! Irène sera votre nouvelle maman ! Allez retourner dans votre chambre !!

Ce que les deux enfants s'empressaient de faire. Ils ne voulaient pas de cette femme en tant que mère. L'ainé commençait à s'énervé :

-je ne peut pas croire que père puisse être tombé amoureux de cette femme ! surtout après le décès de maman !! je vais - je vais ... euh ...

Il s'arrêtas net lorsqu'il s'aperçut que son petit frère était en train de commencer à pleurer.

- j-je veut qu-que maman revienne !

-tu sait que c'est impossible...

-mais je ne veux pas d'elle comme mère ! elle me fait peur ! je veux plu la voir !! dit-il en pleurant de rage serrant les draps du lit sur le quelle il était assis.

-moi non plu je ne veux plu la voir tu sais mais ça ne sert à rien de se mettre dans des états pareils.

Il prit son frère par les épaules pour essayer de le faire cesser de pleurer. Le petit se laissa glisser dans les bras de son frère et se laissa bercer pour qu'il puisse se calmer. Soudain un rire presque étouffer s'échappa de derrière la porte de leur chambre. Les enfants se précipitèrent contre celle-ci et l'ouvrirent mais il n'y avait personne derrière. Ils décidèrent de sortir se rafraîchir les idées.

Ils se baladèrent à travers une grande forêt où leur père avait l'habitude d'aller chasser. Ils y allaient souvent avec leur mère pour chercher des plantes rares et médicinales. Leur destination était d'ancienne ruines au nord de leur royaume. Avant ces ruines était un temple dédié à une déesse de la mythologie ancienne. Les deux garçons n'ont jamais vraiment su de quelle déesse il s'agissait mais ils aimaient énormément cet endroit. Ils s'y sentaient apaisés, tranquilles, détendus.** Ils aimaient surtout s'allonger dans les fleurs et regarder longuement le ciel. Ils restèrent ainsi pendant des heures. Et à force de rêver ils finirent par s'endormir.

Le blond se réveilla quelques heures après, il regardait a cotés de lui où devait se trouver son frère mais il n'y avait rien. En précipitation, il se releva d'un bond et se mit à crier le nom du disparu. Il hurla pendant plus d'une demi-heure. Inquiet il se dit que son petit frère a dû rentrer au château il décida donc de rentrer voir si Adrien y était. Pendant ce temps à quelques kilomètres de là, dans une petite maison était attaché sur une chaise, Adrien, terrifié, il se demandait comment il était arrivé là. A ce même instant une grande silhouette passa la porte. Cette forme assombris pas le contrejour semblait être celle d'une femme. Quand la porte se referma Adrien fut surpris et heureux en quelque sorte que ce soit Irène il s'écria :