Vacance. (5)

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Vacance.
Judi Johnson & Jack Gilinsky.

Jour 6.

Je suis de bonne humeur, je mange. Oui, l'hôtel dispose d'un buffet à volonté, à volonté quoi ! De quoi me mettre de bonne humeur dès le matin.

Mais, mon sourire vient à disparaitre quand je vois Iris entrée accompagne de mon frère.

Ils se tiennent la main. Par contre, pincez-moi, je rêve.

« Aie ! Criais-je. »

« Pardon, réplique Amélia, j'ai entendu tes pensées. »

« Je rêve où pupute est en couple avec ton frère, demande Nathan. »

« Non, vous ne rêve pas. »

Gilinsky. Monsieur vient s'asseoir à côté de moi, une assiette remplie à la main et une carafe de jus d'orange dans l'autre.

« Pour me faire pardonner et pour que vous acceptiez que je sois assis à côté de vous. »

« Pardonnez, dis-je en me ruant sur les croissants. »

« J'allais dire non, répond Nathan. »

« Judi a dit oui, répond Gilinsky. »

« Oui et ? Ce n'est pas elle qui décide, répond Nathan. »

« Apparemment si, alors je reste, que tu le veuilles ou non. »

« Tu te fou d'elle à longueur de journée, alors pourquoi tu es là ? Demande Nathan, à cran. »

« Pour me faire pardonner, pour être loin de cette pimbêche et pour te faire chier. »

« Et ça marche, rit Amélia. »

« C'est bon, me demande gros sourcil touffu. »

« Oui monsieur sourcils touffu. »

« Touffu ? »

« Bah oui, il serait temps d'épiler tout ça. »

« Fait-le, dit-il avant d'ajouter un clin d'œil. »

« Non merci. »


Aujourd'hui est le jour libre ; nous pouvons faire ce que nous voulions jusqu'à 18h. Ensuite, nous devons être au restaurant de l'hôtel pour 18h30.

Pour ne pas me perdre, j'ai pris un prospectus de l'hôtel où il y a une carte de la ville avec des informations intéressantes comme les restaurants et les magasins à proximité de l'hôtel. Je ne vais pas m'éloigner.

« Tu ressembles à un sac à patate, répond jack. »

« Il a raison, la robe ne te va pas, répond Amélia. »

Pourquoi j'ai accepté qu'il vienne avec nous ? Ah oui, je n'ai pas eu le choix, c'est madame Wells qui m'a forcé à le prendre avec.

Ouais je parle de lui comme si c'était un objet. Il me saoul. Il commente tout ce que je fais, tout !

« Recoiffe-toi, tu es laide. »

J'ai envie de le tuer, de le découper en morceau et de le jeter dans la mer. Faut nourrir les requins quand même.

« Tu manges encore ? »

S'il vous plait, tuez le pour moi où tuez-moi.

« Aie ! Criais-je. »

« J'ai entendu tes pensées alors je t'ai frappé, répond Amélia. »

« Je vais vraiment penser que tu es une sorcière. »

« Peut-être, dit-elle d'un air espiègle. »

« Judi ? »

Je me retourne pour faire face à un Jack magnifique, oui je l'avoue. Non, je rigole ! Il est trop laid.

Monsieur porte une fausse moustache aussi grosse que ces sourcils, un chapeau reggae, une chemise bleue ouverte comme les surfeurs et des chaussettes roses remontées jusqu'aux genoux.

Tellement laid.

J'ai un fou rire incontrôlable.

« Que je l'aime ce mec. »

Oups.

Retenue - Tome 2 | Jack Gilinsky |Where stories live. Discover now