-TEXTES QUAND APPARAÎT L'INSPIRATION -

- Mes TRES ETRANGES rêves 2 -

Encore des rêves :3
Vraiment bizarres

---- 1 - Le fauteuil de la sorcière

J'étais à une sorte de mini fête, dans notre salon, c'était assez renfermé comme ambiance et il y avait peu de monde, c'était plutôt une fête pour petits enfants.

Il y avait de la musique assez fort, de la musique de fête, énergique, etc.
Au milieu de cette pièce il y avait un fauteuil noir "coulissant", quand on le tournait il y avait un escalier en dessous. Un escalier en colimaçon fait en béton, plongeant dans le sol.
Tout le monde savait qu'au fond, tout en bas, se trouvait une sorcière. Déjà là j'avais un peu la trouille.
J'avais décidé d'entrer dans cet escalier et je me suis mise à descendre. Mais plus je descendais, plus la musique se floutait, les paroles disparaissaient, je me sentais de plus en plus seule.
C'est ça qui faisait peur.

La vie, les bruits des gens et la musique s'effaçaient petit à petit, plus je descendais plus j'avais l'impression d'être 300 mètres sous terre, dans un espace vide, silencieux, vraiment seule, loin de tout.
Un peu comme dans l'espace, j'étais trop loin de tout.
A un moment j'entendais carrément plus rien. Plus un bruit d'humanité. Seule au monde, entre ces murs de béton, j'étais vraiment angoissée, dans ce vide je me sentais pas en sécurité, j'étais beaucoup trop loin pour appeler à l'aide en cas de danger. Seule si bas dans l'escalier.
Et j'étais pas encore chez la sorcière.
THE END.

---- 2 - Le couteau

Ma mère m'avait demandé d'aller acheter du pain. Je suis donc allée à la boulangerie de la ville pour en acheter. Mais le boulanger ne m'a pas demandé ce que je voulais quand je suis venue, il a juste sorti un énorme couteau et il m'a poignardé avec..

Donc je suis retournée sans le pain voir ma mère, tranquille.
Puisque je n'avais rien trouvé à la boulangerie, elle m'a demandé d'acheter du saucisson. Je suis allée chez le boucher, un trou sanglant dans le ventre (tout à fait normal). Encore une fois je n'ai pas pu en acheter, car le boucher a sorti un couteau encore plus grand et me l'a mis dans le ventre une seconde fois. Je suis donc retournée chez ma mère.

Seulement cette fois elle a vu que j'étais blessée.
Elle m'a allongé dans un genre de lit et m'a traficoté le ventre avec des fils électriques, toute inquiète, en me demandant ce qu'il s'était passé. Je n'avais pas spécialement mal.
Puis ma petite soeur est arrivée, avec un visage tout adorable. Elle s'est mise vers moi et m'a demandé toute mignonne :
-Tu veux un doudou ? en me tendant une peluche nounours.
THE END.

---- 3 - Le pot de crème interdit

J'étais chez ma mamie, dans la cuisine. Elle était dans le salon, à lire ou je ne sais quoi.
Moi, j'avais pris un petit escabeau pour atteindre un tiroir de la cuisine, je l'ai ouvert et j'ai vu un bocal transparent contenant un genre de crème beige. Dessus il y avait un autocollant tête de mort, Mais j'étais petite je savais pas que c'était dangereux et j'ai pris le pot.
Je l'ai ouvert, et tout d'un coup la pâte est sortie, et s'est mise sur moi, toute collante.
Ma mamie, en entendant du bruit, a accouru et quand elle m'a vu elle a eut une expression d'horreur sur le visage.
-Mais, Carmen, pourquoi tu as fais ça maintenant tu vas devoir mourir.

Elle a appelé mes parents et quelques minutes plus tard ils étaient là, choqués. Ils m'ont emmenés dans un genre de restaurant lugubre, aux lumières rouge bordeaux/noir.
Les gens mangeaient leur repas, et je sus qu'ils mangeaient de l'humain.

Adossée à un mur sombre il y avait une petite armoire, toute fine, à taille d'homme.
Ma mamie, mes parents et ma soeur voulaient me mettre dedans et je luttais de toutes mes forces, hyper choquée et triste que les personnes qui m'étaient les plus chères veuillent ma mort à cause de ce stupide bocal.
Mais à quatre ils ont fini par gagner et je me suis retrouvée dans cette armoire, enfermée au milieu de petits néons.
Je savais que je mourrais la dedans et que je finirais dans les assiettes du restaurant.
THE END.