Lycée condamné

Chapitre 1

NDA: celle ci est une des premières fictions que j'ai écrite j'espère qu'elle vous plaira ;)

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Ils étaient là assis dans cette immense salle. Face à eux une multitude de personnes aux interrogations multiples, derrière eux des amis des familles ou des curieux. À leurs côtés un homme au regard assuré, soudain une voix s'élève dans le tribunal :

-Bonjour à tous et à toute, nous savons tous pourquoi nous sommes ici. L'on pourrait croire à un livre tellement l'histoire et invraisemblable. Voir même irréelle ce dernier mot est le qualificatif juste pour décrire l'événement qui à eux lieu et qui a fait de mes deux clients des héros, mais pas les héros qui sauve le monde ou la galaxie. Ce sont des héros secrets réserver qui n'irons pas sur les plateaux télés ou sur les champs Elysée pour recevoir la médaille du courage. Et pourtant ils le mériteraient laissez-les se présenter.

Le jeune homme se leva plein d'assurance pour son âge regarda l'homme trapu et déclara :

-Je me nomme Nathan la jeune fille tremblante se nomme Torie le choc de notre aventure l'a rendue près ce que muette, je vais vous raconter ce qui s'est passé.

Le jeune s affaissa, les jurées crus à juste titre qu'il allait pleurer mais Torie le prit dans ses bras et il se calma, mais ce ne fut pas lui qui reprit la parole, mais Torie.

-Comme l'a dit Nathan, je me nomme Torie le choc m'a énormément secoué cependant, je ne suis pas la seule, je vais-moi vous raconter, comment j'ai vécu cet événement.

« Nous sommes lundi matin, j'arrive au lycée, je retrouve Nathan nos amis, on rit, on discute la cloche sonne on se dirige vers la classe. Les professeurs n'arrivent pas à ouvrir la porte et vont chercher les surveillant des nouveaux. Quelques minutes après le début du cours la porte se ferme automatiquement, une voie s'élève alors dans toute la classe.

-Bonjour désoler de vous avoir enfermé, nous allons cohabiter pendant quelque temps, pas la peine de résister ou de tenter de contacter l'extérieur, ce sera en vain, nous sommes plus d'une centaine à avoir investi votre établissement. Veuillez sortir dans le calme.

Nous sommes sorties Nathan et moi étions au même étage, nos mains se sont entrecroisées dès que nous nous sommes trouvés en arrivant dans le hall, les hommes nous ont demandés qui se portaient volontaires pour faire la liaison avec les autorités quand celles-ci comprendraient ce qui se tramait. Madame Poustrich tremblante à voulus s'avancer mais Nathan d'un signe de la tête l'en a empêché et nous nous sommes avancés.
Ils nous ont conduits à l'étage ou notre geôlier nous attendait. Il nous a expliqué que nous devions juste dire au policier ses requêtes.
Nous sommes redescendus pour expliquer à tout le monde quel était la situation, pendant notre entretien les matelas ont été installés. On joue aux cartes pour faire passer le temps.
Soudain on entend un bruit. Celui d'un corps qui tombe par terre on entend des sanglots et une respiration saccadé on se retourne et on voit Thibaut à terre un gardien la main lever prête à s'abattre sur notre camarade, je sais avant même de tourné la tête que Nathan n'est plus à mes coté mais en train de courir pour empêcher que Thibaut ne se reprenne un coup il y arrive. Il attrape la main à la volé il lui murmure quelque chose je sais pas ce que c'est mais après... »

Torie n'arrivait plus à parler, elle ne tenta pas de cacher ses larmes, elle soutient le regard de ses hommes ceux qui sont là pour mettre fin à ce cauchemar, du moins légalement. Nathan la prend dans ses bras pour qu'elle se calme chose efficace finalement au lieu de retourner sur le banc elle reste au côté de son petit ami lui tiens la main et à eux deux ils font face au président. Sans sourciller ils font face comme ils l'ont toujours fait, l'atmosphère n'est pas pesante elle est légère on entend les murmures dans la salle. On capte les regards émerveillés par le courage des deux adolescents. Finalement, la voix de Nathan s'élève à nouveau une fois que Torie s'est calmée.

« J'ai couru, sans vraiment savoir pourquoi, on ne se parle pas avec Thibaut, mais j'avais l'impression que s'il arrive quoi que ce soit à un élève et que j'avais le moyen de l'empêcher, je devais le faire finalement, j'attrape la main au vol de ce garde qui me frappe à la place puis tourne les talons afin de retourner à son poste.