La beauté de l'été et la froideur de l'automne..

Chap 1: reveil

C'était un beau matin d'été virant à l'automne. Il était 8h, la meilleur heure de toute la journée, j'ouvrais les volets de ma chambre, et je me rappèlerai toute ma vie de cette vue lorsque j'ouvrais ces volets, la nature, les sifflement d'oiseau, les raillons de soleil qui se forger un passage entre les branches du cerisier juste en face de la fenêtre puis surtout cette odeur de fraîcheur intense, la rosée du matin qui s'estomper et le miaulement de pupuce mon chat. J'étais une jeune fille de 9ans à cette époque, et, comme mes parents jle disait toujours j'étais une petite aventurière. Mon père était un bel homme, qui tout comme moi aimais la nature, il était garde forestier, il s'occuper du bon fonctionnement de la faune et la flore. Ma mère quant à elle, n'était pas une femme aimante de la nature, c'était une chochotte d'après mon père, dehors elle avait peur de tout, les abeilles, les tics et même des papillons, ce qu'elle aimais c'était planter des choux, des tomates, des haricots, des navets et des millions d'autres fruits et légumes, par la suite elle nous faisait de succulente soupe ou plats merveilleusement bon et fait avec tant d'amour, jamais par la suite je n'est eu autant de passion qu'elle a faire la cuisine c'était même une corvée pour moi. Ma mère était maîtresse d'école, elle adorait les enfants. Elle aimais nous apprendre pleins de choses à moi et mes frères. Pascal était l'aînée, il était en 1968 seulement 1ans après le mariage de mes parents et Olivier, lui, était né en 1972 c'était le cadet. Moi j'étais née en 1970, être la fille du milieu ne me plaiser pas du tout, mon grand frère m'en faisait vivre de toute les couleurs et mes parents compter sur moi pour être un exemple envers Olivier le cadet. Nous vivions dans une petite maison à la campagne, nous avions des poules, des lapins, et même des canards. Et bien sur nous avions une chèvre, Mémère, on l'avait appeler ainsi en l'hommage de ma grand mère decedée, cela peut paraître étrange mais c'était une preuve d'amour pour elle. Notre maison était entourée de champs et de ferme. J'aimais me promener dans les sentiers entre les champs, allez dans le Mais quand il est haut et monter sur les bottes de paille à la fin du printemps. Je me sentais libre et autonomes. Revenons à nos moutons, je venais s'ouvrir mes volets et je sortais de ma chambre tout le monde dormais encore, c'était dimanche, tous les dimanches ma famille et moi allions à la messe comme tout les villageois. Alors j'ouvrais la porte et je partais dans les champs, car lorsqu'il est 8h les champs sont inoccupé, il n'y a pas d'insectes ou de paysans, j'aimais tellement être seul au milieu de toute cette nature. Puis dès que l'église sonnais 9h je rentrais en courant chez moi pour rentrer avant le réveil de mon père. J'arrivais chez moi et mes deux parents se lever avec mes deux frères, nous nous attablons tous, nous mangeions, du pain frais que ma mère avais acheter au viallge et de la bonne confiture que ma grand mère maternel avait confectionner. J'aimais ma grand mère d'un amour éternel, elle était âgée mais c'était comme ma meilleure amie, elle me donnais de bons conseils et m'écoutais sans jugements. Elle vivait dans une petite ferme à 2min à pied de chez nous. Elle nous rendais visite et nous apporter ses fameuses confitures, et parfois de la niaule, ou plutôt du calvas, que ma mère ajouté dans ces plats, ou que mon père buvait parfois avec ses amis le dimanche après midi lorsqu'ils jouaient au cartes. Puis à 11h nous partions tous ensembles à la messe du dimanche, le curé s'appelait monsieur lambert, il me sortait par les yeux, je le détestait sans même savoir pourquoi. En sortant de l'eglise, j'accompagnais mon père qui partait salué monsieur Dubois le directeur de l'école, je l'aimais bien celui-là, il était drôle et il me donnais souvent une petite pièce de 1 franc, que je dépensais chez madame Laurent la boulangère, j'achetais toujours un petit bonbon.