UNE CROISIÈRE RÉPARATRICE UN DÉFILÉ TRAGIQUE/UN DEUIL INSURMONTABLE

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Martin : Commandant Maori, Capitaine Bernier et les Lieutenant Auriol

Le Commandant Maori : Capitaine Bernier, Lieutenant ravi de faire votre connaissance bien que les circonstances ne s'y prêtent guère, je vous présente d'ailleurs toutes mes condoléances

Martin : je vous remercie, vous connaissez une de nos collègues, Nadia Angeli

Le Commandant Maori : tout à fait, j'ai été ravi de la revoir, bon nous avons parlé des deux victimes du défilé de mannequins la première victime d'un empoisonnement et l'autre les cervicales brisées

Lucas : c'est exact

Le Commandant Maori ; il s'agit de Divine Baker et de Stéphanie Renarde, d'ailleurs nous voulions interrogé madame Baker mais nous avons décidé d'attendre un peu, d'autant que son mari doit arriver, le Commandant Angeli nous a appris que Divine Baker été empoisonnée avec de l'insuline, elle n'était pas elle même diabétique

Roxane : c'est exact, par contre nous avons le nom de deux personnes qui sont diabétiques, mais nous ne savons pas si elles peuvent être impliquées

Le Commandant Maori : vous ne les avez pas interroger

Martin : nous allions le faire quand.........................

Le Commandant Maori : inutile de continuer j'avais compris

Mon Commandant

Le Commandant Maori : oui

Vous devriez venir voir

Le Commandant de bord : j'arrive

A Martin, Lucas et Roxane

Le Commandant Maori : venez, j'ai donné des ordres pour que l'on commence la perquisition chez les mannequins et dans les affaires des personnes qui les accompagnent, nous pensons qu'il faut chercher la ou les coupables dans leur environnement professionnel c'est votre conclusion aussi je suppose

Martin : d'après ce que nous avons appris oui

Le Commandant Maori : ah mon Capitaine qu'avez vous trouver

Le Capitaine Dickinson : ceci

Roxane : des stylos d'insuline

Lucas : vous les avez trouver où ?

Le Capitaine Dickinson : dans les affaires de madame Langhoff

Lucas : la couturière

Le Commandant Maori ; il va falloir interroger cette dame, ah pardon je m'aperçois que je ne vous ais pas présenter, le Capitaine Dickinson

Martin : ravi, Capitaine Bernier, et les Lieutenants Auriol

Le Capitaine Dickinson : ravi également

Une personne (la styliste) avait attendu un peu avant de signaler sa présence

La styliste : vous commettez une erreur, cette insuline n'appartient pas à ma sœur

Roxane : votre sœur ?

La styliste : oui et alors c'est un crime d'avoir une sœur

Roxane : non, mais vous devriez faire attention aux mots que vous utilisez

La styliste : désolée

Martin : comment savez vous que ça n'appartient pas à votre sœur

La styliste : ma sœur à un diabète de type 2

Lucas : on utilise pas d'insuline dans ce type de diabète ?

La styliste : on peut en utiliser mais c'est très rare, mais si vous ne me croyez pas je peux appeler ma sœur

Martin : oui s'il vous plait

Quelques minutes après madame Langhoff (la couturière) arrive

Madame Langhoff (la couturière) : que se passe t'il ?

Martin : cette insuline, elle vous appartient

Madame Langhoff (la couturière) : absolument pas je n'utilise aucune insuline, j'ai un diabète de type 2 qui n'est pas difficile à gérer, je suis uniquement sous comprimés, je peux vous le prouver

Lucas : c'est quoi ce casier

Madame Langhoff (la couturière) : la ou je met mes affaires qui craignent

Martin : vous ne l'aviez pas vu

Le Capitaine Dickinson : si mon Capitaine, mais c'est une fermeture codée

Madame Langhoff (la couturière) : tenez voici les preuves de ce que j'avance

Martin : d'accord

Le Commandant Maori : vous en déduisez ?

Martin : que c'est un coup monté, quelqu'un veut lui faire porter le chapeau

Le Commandant Maori : nous sommes d'accord

Roxane : mesdames excusez moi il me semble qu'il y a une autre personne qui est diabétique un mannequin je crois

La styliste : oui tout à fait, il s'agit de Monica Thiercelin

Lucas : et elle utilise de l'insuline

Madame Langhoff (la couturière) sœur de la styliste : je vous le confirme,

Sa sœur la styliste : je l'ai vu l'utiliser l'autre jour

Lucas : je vous remercie

Madame Langhoff (la couturière) sœur de la styliste : pouvons nous retirer car nous avons du travail

Martin : allez y mais nous allons vous demander de rester à notre disposition au cas où nous aurions d'autres questions à vous poser

Madame Langhoff (la couturière) sœur de la styliste : c'est entendu

Martin : merci, j'appelle Enzo

Au Commandant Maori : c'est le Commandant Ghémara c'est lui qui nous dirige

Le Commandant Maori : je connais le Commandant Ghémara

Martin : excusez moi, oui Enzo, c'est Martin......................................... à suivre

ROMAN FICTIONS SUR LA SÉRIE SECTION DE RECHERCHESWhere stories live. Discover now