Chapitre 6

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Je ne sais pas pourquoi. J'ai fais ça sur le coup d'une intuition. Peut être que cela aiderai Fullmetal. Mais quand je vois Alphonse se jetait sur lui, inquiet, je ne peux m'empêcher d'avoir un léger pincement au coeur.

- Ed, ça va ? Dis moi, est ce que ça va ?

Mais évidement, il ne répondit pas. Je vis le colonel qui nous regardait l'air ébahi et je me dirigea machinalement vers lui.

- Alors, colonel ? Des nouvelles ? 

- Je viens juste d'arriver. Mais venez, lieutenant, j'ai quelque chose à vous montrer.

Je lui emboîta le pas et quand nous nous dirigeâmes vers le salon, je vis une femme que je n'avais pas remarqué à l'allée.

- Mademoiselle, voici le lieutenant.

- Madame, je suis désolé. Je ne voulais pas. Réellement. Voyez vous, je ne suis même pas une alchimiste alors quand j'ai remarqué que mon sérum
avait fonctionné, je m'en suis voulu. Énormément.

- Mais de quoi parles vous ? 

- Lieutenant, cette femme à conçus un nouveau liquide et elle la "tester" sur une jeune fille. Mais elle m'a demandé de la cacher et je ne regrette aucunement mon choix.

Cette histoire était absurde. Totalement.

- Lieutenant !  Colonel ! Ed ! Il ... Il.... ne respire plus ! 

Nous courions vers la chambre et vit un Alphonse paniqué qui essayait de faire respirer son frère. Je l'écarta et fit les geste de premiers secours.

Inspirez. Expirer. Inspirer. Expirer. Ne pas avoir peur.

Après cinq minutes à faire un massage cardiaque, nous pûmes voir avec soulagement la poitrine de Fullmetal se soulevait.

- Je pense que ce sont les médicaments qui ont provoqué cela.

Je n'avais même pas remarqué que la femme était rentré dans la pièce.

- Veuillez retournez dans le salon, mademoiselle.

La voix menaçante du colonel me fit remarquer que c'était une criminel qui pouvait tuer à n'importe quel moment.

- Mais monsieur, regardez leur  composition ! Je pense que pris à une forte dose, il doive arrêter le système respiratoire.

- Comment savez vous cela ?

- Autrefois, j'étais docteur  lieutenant.

- Réellement ? Et quelle était votre nom ? 

- Kimoto Kari.

- Je vois. Alors vous pensez que c'est sûrement pour cela que Fullmetal à failli mourir ? 

- Je le crois bien. Qui vous les à prescrit ?  Car on ne peut pas les prendre sans l'avis d'un dotceur.

- C'est justement lui qui m'a dit d'aller en acheter.

- Il n'aurait pas dû. Combien il doit en prendre ?

- Cinq tout les cinq heure.

- MAIS C'EST DE LA FOLIE !

- Mais pourquoi ? 

- Si son frère n'avait pas été là, il serait sûrement mort maintenant ! 

- Ed aurait pu mourir ? 

- Malheureusement oui... 

Le colonel prit la jeune docteur par le bras pour l'amener au salon. Je frémir d'horreur en pensant au conséquence. Je me demanda si cette remplaçante en était réellement une...

- Lieutenant ? 

- Oui, colonel ?

- Venez voir.  Vous aussi, Alphonse.

- Mais Ed -

- Il est grand. Ce ne sera pas long. Kimoto va juste nous dire quelle sont les conséquences de son cercle.

Nous nous assîmes tous autours d'elle et  nous là regardions. Je commençai à avoir peur et je fus terrifiée quand la jeune criminelle pris la parole.

- Je ne sais pas exactement quelle sont les répercutions de mon cercle. Comme je vous les dit précédemment, je ne pratique pas l'alchimie. Je ne voulais la blesser. Je faisais que tester. Mais... Je sais que mon cercle... un cercle maudit... J'ai compris.... j'ai compris... Et je m'en veux... Énormément... Ce cercle enlève l'un des trois sens. La parole, l'ouïe et ... la vue....

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