La fille de Voldemort

Chapitre 18

Coucou tout le monde voici le chapitre suivant. En espérant qu'il vous plaise autant que moi. Prochain chapitre que je publierais dans 2 semaines. Rdv au 3 avril ! Bonne lecture !

Chapitre 18 : Où comment annoncer à sa meilleure amie que l'on va se marier et en sortir vivante....

           

                Une semaine était passée. Le repas s'était bien déroulé, même si des pensées déplacées de la part de Drago et Ethan m'ont fait frissonner. Et pas de dégoût.... C'est Severus qui en a été heureux le soir même. Ou était-ce l'après midi... ? Bref. Une semaine aussi que nous avions vu Dumbledore. L'horreur. Un mot simple, puissant, et encore, pas assez pour lui. S'était horrible. Ses pensées.... Si noires, si folles, il était évident qu'il était plus atteint que quiconque de la mort de son compagnon. Et quand je dis compagnon, je pense veela. Et oui, Grindelwald était un veela. Et il l'a tué.... Personne ne peut savoir ce qu'il s'est passé cette journée là, mais je ne pense pas qu'il en est été conscient. Pas avec son mental actuel. Et je ne pense pas qu'il s'en soit remis. Il est malade, mais pas fou. Juste malade. Et là, allez faire comprendre à un drogué que non il n'y a pas d'hippogriffes roses....

                Et encore une semaine aussi que nous savions que nous attendions des jumeaux. Severus était aux anges. Moi aussi. Du coup, il était encore plus aux petits soins. Papa était lui aussi fou de joie. Ethan irradiait de bonheur. Narcissa complétement folle. J'avais envoyé un hibou à mes parents. Il fallait que je les voie et leur parle de vive voix. J'étais survoltée. J'en avais envoyé un aussi à ma meilleure amie.

                Et justement, je l'attends. Qu'un hibou vienne répondre à ma missive. Et merlin sait que j'attends plus une beuglante. A moins qu'elle ne vienne elle même me jeter un sort de chauve-furie. Et alors là... on en reparlera. Je flippe. Ma lettre est partie hier. Severus me prend dans ses bras. Je me sens un peu mieux. Mais je flippe toujours. Je respire son odeur. M'imprègne de lui. Son bras gauche vient dans mon dos, alors que le droit vient se mettre sur ma hanche gauche, près de mon ventre.

- Ça va aller Mia. Je serais là.
- J'ai les boules Sev'. Elle serait capable de me tuer.... J'en suis sur.
- Et bien elle se prendra un sectusempra avant.
- Severus, je ne rigole pas.
- Moi non plus. Je t'aime, je vous aime. Et crois-moi, je ne l'ai pas dit souvent.
- Je sais. Et j'apprécie et les mots et le geste.

                Il me sert un peu plus encore. Puis je vois une tâche noire au fond. Je me redresse. La tâche se ramène, grossit un peu. Un hibou. Merlin. Le fou !

- Severus, met toi à l'abri ! Vite dépêche toi !
- Quoi ? Mais....
- C'est le hibou de Ronald, il ne sait pas atterrir. Dis-je affolée.
- Viens, vite. Me dit-il m'emmenant derrière la porte d'entrée.

                A peine la porte fermée, que nous entendons un paf. C'est bon il a atterrit. Contre la porte.

- C'est lui qui a fait ce boucan ?
- Oui.

                J'ouvre la porte. Il est en bas, debout. Bon déjà il n'est pas trop amoché. Je rends le bras à sa hauteur, il monte dessus. Puis prends le parchemin dans l'autre. Je regarde le seau. Ginny.

- C'est à qui cette chauve souris ? Me demande Severus, voyant le seau.
- Je l'ai offert à Ginny en quatrième année.
- Bon, tu as au moins une réponse. Et ce n'est pas une beuglante. Dit-il voulant me rassurer.
- Oui. Je... je vais aller dans la chambre pour l'ouvrir. Dis-je joignant le geste à la parole.

                Je grimpe les marches et finis par atteindre ma chambre, notre chambre. Je me pose sur le lit. Ma main tremble. J'essaye de décacheter le parchemin. Je finis par y arriver. J'écarte les plis de celle-ci, je flippe. Je n'ai pas été trop ceci ou trop cela dans la lettre, mais bon avec Ginny.... Je finis par la déplier. Je retiens ma respiration. Puis commence à la lire.