Chapitre 15 : Accepter ou renoncer

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PDV de Klaus

Je suis parti énervé et surpris de la pièce où se trouve ma famille et mon épouse. Je ne peux pas devenir un père, mais je veux en être un ! Mais imaginons si j'étais comme mon père là était pour moi... horrible, cruel, monstrueux, j'ai subi d'atroces souffrances à cause de lui ... . J'entends quelqu'un arriver : c'est ma sœur. Qu'est-ce que je vais trouver à lui dire pour ne pas passer pour un faible petit garçon. Je ne sais pas, pour une fois je vais tout lui dire au pire c'est ma sœur elle comprendra.

Rebekah : Que fait-tu seul dehors mon frère ?

Klaus : Je réfléchis...

Rebekah : Accroupie sur un banc, au beau milieu de la ville ?!

Rebekah : Accroupie sur un banc, au beau milieu de la ville ?!

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Klaus : Oui, ça m'aide à réfléchir...

Rebekah : Tu sais que Lucie avait l'air très déçu que tu sois parti comme ça après cette annonce ?!

Klaus : C'est vrai, elle était plus déçu ou triste ?!

Rebekah : Un peut des deux je dirais, je lui est dit que je te ramènerai dés que possible !

Klaus : Je ne sais pas Reb, et si j'étais un mauvais père ? Si j'étais un mauvais époux ? Si je l'ai faisait souffrir tout les deux ? Je ferai peut être mieux de sortir de sa vie une fois pour toute !?

Rebekah : Tu raconte n'importe quoi, si tu t'en vas elle va souffrir bien plus que tu pourrais le faire en restant ! Tu ne sera jamais comme notre père, tu es bien mieux que lui ! Tu ne peux pas être un mauvais époux elle vois en toi ce que personne n'a jamais vu, tu es tout pour elle je le vois dans ses yeux quand elle te regarde, c'est comme si elle ne voyait plus rien autour d'elle ! Elle t'aime !

Klaus : Je le sais elle me l'a dit mais,...

Rebekah me coupa la parole.

Rebekah : Il n'y a pas de mais ! Il y'a à peine quelques jours toute la ville voulais t'a mort comme si tu étais Lucifer lui-même. (Lucifer = diable) Et maintenant tout le monde est compréhensible envers toi bon il y'a toujours des exceptions mais tout ça c'est grâce a elle !

Klaus : T'as raison, je vais aller lui parler !

Rebekah : J'ai toujours raison !

Klaus : Merci Rebekah .

Rebekah : Aller file !

Je pars en direction de l'endroit où est ma femme et une fois arrivé devant la porte je respire un grand coup et rentre. Elle est seule et elle dors sur le canapé, elle est magnifique... . Je pourrais la regarder dormir pendant des heures et des heures.

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Une Salvatore amoureuse [ Tome 1 ] TERMINEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant