Bad Possessive Boy [terminé] ✔️

Chapitre 41

Après quelque minute d'attente la voiture arrive enfin. On monte à l'arrière et il démarre.

Titouan : parfait !

Je me retourne et vois deux voiture qui nous tire dessus.

Moi : comment sa parfait ?

Le chauffeur accélère d'un coup.

Titouan : on va attire Marc dans un lieu où il y a déjà tout le gang de lorenzo réuni.

Moi : mais et si Esteban ramene son armée ?

Titouan : alors on est tous mort.

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Moi : c'est rassurant...

Après 3 minute de route à 200 km/h le chauffeur arrêt la voiture devant une immense forêt.

Je vois lorenzo avec 2 autre personne.

J'ouvre la portière et sort calmement de la voiture.

Moi : c'est sa ton "plan" l'attaquer avec 3 hommes ? Tu va faire quoi ? Lui faire des grimasse ?!

Titouan : ne t'inquiète pas.

Moi : et tu me demande de ne pas m'inquièter ?! Mais tu est...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase puisque trois voiture vienne d'arriver devant la forêt.

Marc descend de l'une d'elle toujours avec se sourrir victorieux au visage.

Marc : c'est fini juliette, tu n'a plus le choix que de venir avec moi !

Tout ces hommes descend de la voiture et ce poste derrière lui comme des peut chien qui obéisse à son maître. Pfff comment on peux obéir à quelqu'un comme sa ?!

Marc : je te laisse une chance de venir de ton plain gré. Après j'utiliserais la force.

Moi : creve sale bouffon.

Marc : comme tu voudra... Aller y !

Rien ne se passe. Les homme ne bouge pas d'un poils ce qui déstabilise Marc.

Marc : ALLER Y !

Je comprend peu a peu le plan de Titouan.

Titouan me donne un flingue et me fait un signe de la tête comme pour me dissuader de le tuer.

Je m'approche de Marc qui s'énerve de plus en plus face à cet rébellion. Je pense que lui aussi a compris ce qui allait ce passer.

Moi : je tent le bras. Je plis un peut les coude. Je vise je tire je tue. C'est sa n'est-ce pas ?

Marc : content de savoir que tu as retenu ma leçon.

Moi : je suis contente de savoir que je l'exercerais sur toi.

Je souffle doucement. Marc me regarde fixement dans les yeux comme pour me défier de le faire. Son sourrir d'hypocrite ne quitte pas son visage.

Je tent mes bras doucement.

Je plis légèrement les coudes...