OS Zosan

OS 4 partie 3

Sanji était resté figé sur sa chaise. Le vert était partit il y a quelques minutes mais le cuisinier n'arrivait pas à se remettre, comment le Marimo pouvait-il faire ça ?? Lui ? Avec le Marimo ?? Rien qu'à cette pensée le blond essuya ses lèvres du revers de la main rageusement. A quoi pensais cette algue pourrie ?! Il voulait jouer avec lui c'est ça ?? C'était tout simplement impossible que le bretteur éprouve des sentiments pour lui, en tout cas pour lui c'était inconcevable. Il alla chercher un verre, ce servi un peu de saké, il n'avait pas l'habitude de boire de l'alcool, mais là il avait besoins de se changer les idées. Après avoir bu deux verre il rangea son carnet de recette et se dirigea vers le quartier des garçons.
Il devait dormir, il ne devait plus y penser.

-le lendemain-

Le Cook se leva en premier comme à son habitude, mais cette fois, il était plus fatigué du à une nuit courte. Il se dirigea vers le pont pour sentir l'air frais du matin et regarder le lever du soleil. Normalement il profitait de la vue en se fumant un petit cigarette mais il n'en avait plus, ce qui était le cadet de ses soucis. Même si un autre problème était survenu pas plus tard qu'hier, a cette pensé il secoua la tête, il n'avait pas envie d'y repenser dès le matin. Il alla dans son antre pour préparer le petit déjeuner avant que son capitaine débarque en guelant dans sa cuisine. Aujourd'hui il avait décidé de préparer un petit-déjeuner anglais pour changer! Il se mit donc au travail n'écoutant plus ce qu'il se passait autour de lui, trop concentré à la confection de son repas. C'est d'ailleurs pour ça qu'il n'entendit pas la marche lourde de grosses bottes noir se rapprocher de lui. Il se tendit lorsqu'il senti deux bras musclé entourer sa taille. Il ne faisait plus un geste tenant une tomate dans une main et un couteau dans l'autre. Un souffle chaud venait s'écraser contre le creux de son cou. Ce qui lui procura un frisson. Mais il était aussi un peu paniqué, il voulait qu'il le lâche.

Sanji : q-qu'est-ce que tu fou Marimo ?...

Il eu pour toute réponse un grognement, le vert était encore endormie, ou plutôt somnolant. Il finit par sortir un truc à peu près compréhensible.

Zoro : mal à la tête...

Sanji senti son visage se crisper, un peu énervé de cette remarque du vert.

Sanji : t'as cru que j'étais Chopper imbéciles ? Va à l'infirmerie si t'as mal à la tête abrutie !

Il se détacha de l'emprise du vert qui grommela apparement mécontent d'être séparé de son doudou. Il avait la tête dans le cul comme on dit. Celui-ci se dirigea finalement vers l'infirmerie. Sanji retourna à ses fourneaux se demandant ce qui venait de lui arrivé à l'instant. Pour son plus grand malheur l'épéiste refis surface se grattant la nuque.

Zoro : trouve pas médicament.

Sanji :... tu te fou de ma gueule la ?...

Zoro : tu peux pas m'aider ?

Sanji rabattu son couteau sur la pauvre tomate d'une force plus grande que les autres fois. Exaspéré il se tourna vers le sabreur, voyant qu'il ne pouvait rien tiré de cette tête d'algue endormis, il soupira et se dirigea vers l'infirmerie suivi du bretteur. Le cuisinier, chercha dans quelque tiroir avant de trouver le médicament qu'il fallait, il remplit un verre d'eau et le posa sur la table avec la petite pilule à côté.

Sanji : voilà, maintenant la gentille petite algue, va me faire le plaisir de boire sa...ET DE ME FICHER LA PAIX !

Quelle idée de boire autant aussi ?! C'était ce que se demandais Sanji désespérément même si lui aussi avait un peu la gueule de bois. Le vert resta assis à sa place regardant le blond sagement faire la cuisine. Après avoir mit à cuir son lard et ses œufs il se retourna vers le sabreur qui semblait perdu dans ses pensée.

Sanji : pourquoi tu as fais ça hier ?...

Zoro : hum ?...

Sanji : ça t'amuse de jouer avec moi comme ça ?

Zoro : je ne m'amuse pas.

Sanji voulu tirer plus d'information du vert mais le capitaine choisis ce moment précis pour rentrer dans un grand fracas dans la cuisine.

Luffy : MANGER !!!!

Le blond blasé se retourna vers ses poêles

Sanji : oui oui, ça arrive.

Le Brun s'assied à côté du bretteur tenant des couvert et commençant à taper sur la table à l'aide de ceux-ci. Puis se tourna vers Zoro.

Luffy : bah ! Zoro tu t'ai levé tôt aujourd'hui ! C'est trop bizarre !

Le bretteur ayant un peu repris du poil de la bête l'envoya balader. Les autres membres de l'équipage arrivèrent un à un. Sanji commença le service en oubliant pas de faire les compliments habituels à ses deux déesses. Le petit-déjeuner se passa sans plus de désagrément. A part peu être un sermon de Chopper à propos de la gueule de bois du vert, et de son abus d'alcool quotidien. Celui-ci faisait la sourde d'oreille, après tout, la boisson était un peu comme la cigarette pour Sanji, il lui était impossible de s'en passer. Tout le monde partit sauf le bretteur qui resta pour aider le Cook à faire la vaisselle, c'était quelque chose qu'il faisait parfois, Sanji ne fit donc pas plus attention à ça. Zoro était redevenu à peu près normal et n'agissais plus comme un enfant au plus grand soulagement du blond.

Zoro : j'ai rêvé de toi ce soir.

Sanji faillit faire tombé une assiette et se retourna vers le bretteur un peu rouge.

Sanji : mais qu'est-ce que tu me chante enflure ?!

Zoro : je rêve souvent de toi.

Sanji : mais arrête c'est hyper gênant ! Depuis avant-hier tu es comme ça ! Arrête franchement ! Pourquoi tu me fais ça ?? Tu ne vois pas que ça me gêne ? Et puis ce baiser la... arrête...

Zoro : désolé mais je ne peux pas.

Sanji : quoi ?

Zoro : c'est me demander l'impossible.

Sanji : de quoi tu parle ! On a jamais eu ce genre de relation avant et maintenant tu me dit que tu ne peux pas arrêter ?!

Zoro : tout simplement parce que je n'en peux plus de me retenir, si je pouvais je pourrais te violer contre l'évier ça te va ?! Je fais beaucoup d'effort pour ne pas te sauter dessus tout le temps, c'est déjà pas mal non ?

Sanji : hein ?...

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Désolé pour ce groooos retard mais je n'arrivais pas à le sortir celui la. Le prochain risque de prendre du temps aussi. Mais vous l'aurez c'est sûr ! J'espère qu'il vous plaît et sur ce, à plus !