Deux ombres étrangères se tiennent debout devant la rivière
Devant la pureté de son eau claire ;Ils y voient le reflet de leur père.
Là, face à la naissance des moissons,
Quand l'hiver a quitté l'horizon
Que le soleil revient chauffer les foyers,Rien n'est plus beau que des enfants gambadant dans les champs de blé
Quand de l'autre côté de leurs terres se tiennent des jardins pollués par la société.
Rien n'est plus fort que la nature qu'ils vénèrent,
Celle qui leur donne tout ce qu'elle a de plus cherElle leur donne tout ce qu'elle a de plus cher.
Rien n'est plus beau que le sentiment protecteur envers leur déesse,
Le respect que mérite la valeur de ses prouesses.Ils ne comprennent pas pourquoi certains ne le font pas ;
Pourquoi dans ce monde, il y a des personnes qui ne respectent pas le sol sur lequel elles marchent ?
Population égoïste sans coeur,
Qui ne songe qu'à son propre bonheur
Mais elle ne voit pas que c'est sa peau qu'elle arrache,Et c'est bien le problème, elle ne voit pas.
Elle ne voit rien
Mais la terre poursuit son déclin...Sans douceur
Sans entretienElle ne peux aller bien,
Une partie d'elle-même se dérobe entièrement
Alors qu'il y a tellement de bonnes âmes qui prennent soin d'elle,Mais Dame Nature est blessée au plus profond de ses racines
Et elle ne peut continuer à fonctionner avec toutes ses épines,
Qui trahissent son visage au fil du tempsIl y a encore de bonnes âmes qui prennent soin d'elle.
Deux ombres étrangères se tiennent debout devant la rivière,
Et regardent d'un oeil impuissant
Toute la beauté du monde devenu un gouffre pesant.*********
Hello, je suis de retour ! Après des semaines, que dis-je, des mois d'absence O.o Un tout nouveau texte est en ligne. x)
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Quelques notes d'évasion
Poetry"Au rythme d'un son mélodieux, les mots s'envolent sur quelques notes de musiques." Une mélodie envoutante. Quelques lignes s'en échappent. Et s'évadent à travers le sillon de notes.