La sauvage et l'arrogant : un mélange parfait

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Quand elle se reveilla il était déjà le matin ce qui voulait dire qu'elle avait passé le reste de la journée d'hier ainsi que la nuit dans sa chambre ce n'était pas la première fois car il y a 4 ans quand elle n'avait que 15 ans elle avait passé une semaine enfermée dans sa chambre elle ne pointait son nez que tard pour récupérer le plateau que la gouvernante plaçait devant la porte et tout ça parce que Genevièvre avait voulu l'envoyer en colonie de vacances avec les enfants des ses associés. Elle a cessé cette grève que lorsque Genevièvre lui avait dit qu'elle n'essaierait plus de l'aider à s'ouvrir au monde extérieur. D'ailleurs Victoria n'a même plus voulu se rendre à l'école et avait suivi ses cours en ligne quand elle avait appris pourquoi les autres enfants avaient des papas à la maison et pas elle. Elle ferma les yeux au souvenir de cette époque difficile qu'elle n'a reussit à surmonter qu'après des visites répétées chez des psychologues différents
Elle alla prendre une douche et se lava les cheveux ses cheveux étaient ceux du résultat de l'accouplement d'un blanc et d'une métisse elle remmerciait le ciel quotidiennement pour avoir tout prit de sa mère car elle n'aurait pas supporté avoir des cheveux lisses et des yeux bleus clairs elle s'habilla d'un pantalon qui mettait en valeur les courbes parfaites qui allaient avec sa race et d'un grand tee-shirt noir en suite elle se dirigea vers le grand miroir de sa chambre pour se regarder elle ne se trouvait pas jolie au contraire de sa mère qui était très radieuse et classe elle se demandait même comment elle faisait pour être aussi belle après tout ce qui lui était arrivé il y a des années elle rassembla ses cheveux en un chignon lache et négligé qui laissait s'échapper quelques mèches et sortit donc de la chambre en se dirigeant vers le bureau de sa mère elle voulait à tous prix s'excuser de son comportement d'hier

-Bonjour m..

Elle s'était stoppée nette en apercevant l'homme d'hier elle se jura donc intérieurement de ne pas se laisser emporter et repris

-Bonjour. Mère excuse moi de te déranger mais je voulais m'excuser de mon comportement d'hier

- bonjour ma chérie

-bonjour avait laché l'homme que Victoria ignora d'un toisement

-je m'en vais donc dit celle-ci en se retournant

-non ma chérie j'ai quelques chose à te demander et je sais que cela ne te plairas pas donc ne pique pas une crise s'il te plaît ou du moins pas maintenant ajouta-elle en faisant allusion à la présence de leur invité

-De quoi s'agit-il??
demanda celle-ci avec le présentiment que cela ne lui plairait pas

-puisque tu es la seule à pouvoir t'approcher des chevaux de l'écurie veux-tu faire visiter les lieux à monsieur Li....

-non impossible je ne veux pas demandes à l'un des domestiques

-mais arrêtes de faire la gamine!! S'écria Genevièvre qui, immédiatement ces mots sortit de sa bouche les regrettait en voyant le visage appeurée de sa fille ce qui n'échappa pas à Liam qui ne comprenais absolument pas cette jeune fille aux yeux marrons contournés de gris
Effectivement, depuis que sa mère lui avait parler de son père elle ne supportait pas qu'on lui crie dessus elle ne supportait même pas qu'on la touche

- je suis désolée dit Genevièvre qui voulait à tous prix éviter que sa fille ne retombe dans une énième dépression

-pas la peine de t'excuser puisque je ne le ferai pas d'ailleurs je m'en vais dit elle en ajoutant aux mots les faits elle ne laissa pas le temps à Genevièvre d'en rajouter

Elle se réfugia dans sa chambre et quelques minutes après quand elle entendit du bruit elle alla vers sa fenêtres et elle découvrit Liam marchant vers les écuries suivie de très loin de Marie, l'une des domestiques les plus anciens. Elle ne put s'empêcher de sourire car cet homme allait sûrement se faire écraser par les cheveux sauvages qu'elle avait elle-même choisit elle se décida donc à la regarder mourir en souriant mais elle se souvint donc du regard suppliant de sa mère et sortit de sa chambre pour empreinter le chemin qu'elle était la seule à connaître et qui permettait d'accéder plus rapidement aux écuries