To Start Over Tome 2

9 « Vérité »

- Pourquoi quoi?

- Pourquoi ce pari?

- Je n'ai pas eu le choix.

Je rie amèrement.

- J'ai cru comprendre cela quand tu appelles Florian. Maintenant je veux tout simplement comprendre.

- On va dire que j'ai fait plusieurs chose qui aurait pu me faire virer de sport étude, ou même de l'équipe de France et me nuire.

- C'est à dire?

- Plusieurs gars de mon groupe fument, et pas que des cigarettes.

Ok génial.

- Ils m'avaient déjà parler de ce pari quelques mois auparavant, j'avais directement refusé, mais là on va dire que je n'ai pas eu le choix.

- C'est à dire?

- Ils avaient des photos où l'on me voyait clairement avec leur dealeur, et d'autres où j'étais entrain de fumer un joint.

Oh putain.

- Ils t'ont donc fait chanter, dis-je avec une petite voix.

- Oui. Je n'avais pas le choix.

Je vois très bien qu'il s'en veut mais quelque chose m'embête.

- Pourquoi moi?

- De quoi?

- Pourquoi moi et pas une autre fille?

Il baisse la tête, j'ai touché un autre point sensible je crois.

- Et bien, il cherche ses mots, je leur avais dit que je te trouvais belle et-

- Genre?

- Oui, on va pas se mentir que tu es une putain de bombe.

Je rougis et il l'a très bien vu puisqu'il rit.

- Et quand ils ont vu notre petit jeu-

- Notre petit jeu?

- Oui, les moments où l'on se cherchait, on s'envoyait des piques et tout le reste.

- Ah oui ça.

C'était la belle époque où tout allait bien.

- Ils directement pensés que tu avais des sentiments pour moi.

MDR

- Donc ils m'ont exposé leur plan et j'ai refusé mais avec les photos quand ils sont revenus à la charge en me faisant chanter et bien je n'ai pas eu le choix.

Je me sens bien conne là...

- Donc tu ne m'as jamais aimé, demandais-je hésitante.

- Quoi ? Bien sûr que si ! Quand on perce ta carapace, que tu es toi même, que tu n'es pas cette fille arrogante que tu t'efforce d'être en publique; tu es super attachante. Je suis très rapidement tombé sous ton charme.

Je vais pleurer.

- Je voulais gagner ce pari, je vais le taper, enfin seulement au début. Comme je te l'ai dis, une fois qu'on perce ta carapace tu n'es pas là même personne. C'est de cette personne là dont je suis tombé amoureux.

C'en ai trop, les larmes coulent.

- Tu es un idiot.

- Pourquoi ?