epilogue

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- Monsieur Siaka, avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ?

L'accusé baissa la tête et ne répondit pas, il préféra garder le silence. Le juge le regarda un moment puis tapa à l'aide de son maillet son socle, afin de regagné le silence dans la salle qui c'était dispersée.

Il se racle la gorge et repris :

- Bien, Monsieur Siaka, vous avez commis avec préméditation le meurtre de Monsieur Tobias Thomas. La préméditation est définie par l'article 132-72 du Code pénal comme le dessein formé avant l'action de commettre un crime ou un délit déterminé. En d'autres termes, il s'agit d'un meurtre réfléchi, prévu avant le passage à l'acte. Nous avons pu constater à l'aide de ces lettres qui étais destinées à votre amante qui est morte lors d'un accident...

Kaydan, se leva  prêt à riposter mais les policiers le retiennent, il l'es regarda un instant puis pris la parole :

- Ce n'étais pas un accident ! Ce salaud  à tuer ma femme et mon enfant  !

- Votre langage !

- Il est partit sans même s'arrêter... Il l'a tuer ! Elle a perdu la vie, elle est morte parce que il a préféré prendre la fuite que de l'aider. Elle est morte par sa faute. Il l'a tuer !

- Certes Monsieur Tobias avait commis un délite, mais ce n'étais pas une raison pour l'assassiner.

- Un délit vous dites ? Pour vous RENVERSER UNE PERSONNE C'EST UN PUTAIN DE DÉLIT ? Il n'a eu que ce qu'il mérité, je ne regrette pas mon geste.

Les policiers le maîtrisent et le fais s'assoir de force.

Des larmes glissent tout le long de ses joues. Il resta assis dans son coin à verser des larmes en repensant à sa bien aimé, Hilal. Il était seule, ça famille ne voulait plus le voire, ils avaient honte de lui.

- Donc je disais, grâce au lettre que nous avons retrouver dans votre appartement, on a pu savoir que c'était une vengeance et un meurtre prémédité. Pour cela vous allez encourir la peine de réclusion criminelle à perpétuité, comme l'indique l'article 221-3 du Code pénal.



Des applaudissements et des cris de joie se font entendre dans la salle. Surtout les cris de la mère de Thomas qui crier « justice soit faite ». Les policers prennent Kaydan pour le faire sortir du tribunal.



Kaydan leva les yeux en direction des tribunes, il vit une femme se toucher le ventre les larmes au yeux qui le regarder.

C'était la fiancée de Thomas.

Elle été comme lui à présent, elle aussi avait perdu un être chère, qu'elle aimait et qu'elle chérissais.


Elle ne savait pas qu'il avait enlevé la vie d'une personne, elle viens de l'apprendre à l'instant.

Ce soir là, Thomas a retrouvé sa petite famille le sourire au lèvres, comme si de rien été. Sonia ne se doutée de rien. Elle ne savait pas que quelque minutes auparavant sont futur époux avait tuer une femme ainsi qu'un fœtus.




Le prisonnier détourna le regard de honte, il essaya tant bien que mal de retenir ses larmes. À cette instant, il regretta son acte.



























«  Hilal,

Mon jugement est passé et pour tout te dire, cette sanction n'est rien, je mérite de mourir. J'ai tuer un homme qui attendait un enfant.

Sa femme était enceinte tout comme toi.

Je suis une pourriture, je sais que tu es entrain de m'insulter de tout mes nom de la haut.
Hélas, je ne pourrais pas te rejoindre au cieux. Je suis voué à brûler dans les flammes de l'enfer.

Mais sache une chose Hilal, tu est la seule femme que j'ai aimé de cette manière, la seule qui m'a vue dans mes moments de faiblesses. Toi et moi c'était écrit, tout ce qui c'est passez jusqu'ici, était écrit.

Tu est la seul qui a pu embrassé mon cœur, me rendre tendre et réfléchi. Tu est la seul pour qui je peut tuer.


Laisse moi te dire, il n'y en a pas d'autre comme toi. J'aimerais te couvrir une dernière fois de mes bras quand tu aura sommeille, dormir à tes côté. Et ne rêver de personne d'autre que toi.
J'aurais aimé changé le monde rien que pour te voir sourire, juste une dernière fois.
J'aurais voler le soleil pour qu'il t'appartiennes. Tu ne m'a pas laissé le temps de t'aimer et de te chérir.
Je me voyais à tes côté, mourir à tes côtés.
J'aimerais te voire dans cette robe de soie, voir à quelle point tu serais resplendissante.
Mais tout ça n'est plus possible, tu a rejoint les cieux en laissant un homme sans cœur ni âme.













Même enfermer entre quatre mur je ne cesserai de t'aimer. Ton esprit me hanterais jusqu'à mes dernières instant sur cette terre.

Hilal, c'est dans cette dernière lettre rempli de regrets et de remord que je te dis au revoir, car j'ai beau tout faire pour que tu me revienne, tu ne me reviendras jamais.






Je t'aime mon amour.





Kaydan. »











THE END













_____

Un grand merci à toutes celles qui ont suivis l'histoire jusqu'à la fin. C'est sur cette épilogue que l'aventure de Kaydan se termine.

J'ai longuement hésité avant de faire cette fin, parce que au début je voulais faire un tome 2 où Hilal retrouver ses lettres et elle le lui écrivait aussi. Genre ils étaient juste séparer et elle pas morte, mais j'ai longuement réfléchi j'ai préférais la tuer ( non je ne suis pas sadique. )

J'espère que vous aimez quand même cette fin, pas trop joyeuse certes.

On se dit à bientôt pour une nouvelle histoire, peut-être huhihu.



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