Malgré le danger [TERMINÉE]

Chapitre 3

Chaque jour, je joue du piano, c'est le seule moment de la journée où je me sens bien malgré le faite que depuis longtemps je ne joue que des morceaux sans queue ni tête mais aujourd'hui je ne sais pas pourquoi mais je joue quelque chose qui a du sens, une vraie mélodie . Je décide d'écrire chaque note que je joue, petit à petit je trouve que la musique veut me dire quelque chose, un message caché mais lequel je ne le trouve pas.

Je me remémore un événement.

Tout à l'heure je l'ai vu il se laver avec tous les autres sur la place publique. Je sentit son regard se poser sur moi, et les sifflements de tout les autres je suis donc partit gardant la tête, de quel droit ils se permettent de pe siffler. Je ne suis pas une de ses catins.

Je suis toujours sur le piano, je suis comme envoûté par les sons qui sortent de celui-ci. Chaque note me touche au plus profond de mon âme.

Lorsque j'ai finis, je me retourne pour sortir et vois cette homme, au creux de la porte. Il prononça quelques mots et j'entendis pour la première fois sa voix :
-" Je n'ai pas eu le temps de me présenter je m'appelle Bruno, Bruno Von Falk. Il me tends la main mais je ne la sers pas
- Que voulez-vous ?
- Me présenter.
- C'est tout ?
- Non, j'avais une question, je voulais savoir si je pouvais de temps à autre jouer de votre piano ?
- Oui vous pouvez de toute manière est j'ai le choix."
Je sors de la pièce sans lui laisser aucune chance de répliquer. En oubliant même ma partition, je vais dans le jardin et profite de l'air frais, je m'assois sous un arbre pour m'assoupir quelque peu. C'est de plus en plus dur les prix montent, tout va au plus mal et ses problèmes ne cesse de me hanter

En rentrant, je rentre dans la chambre de l'officier pour faire un peu de ménage, je passe le balai lorsque par maladresse je fais tomber un tas de lettre et trouve une lettre ouverte j'y lis ses quelques mots :
" Marie celle qui vit chez vous est juive "
Lorsque je lis cette phrase je sens mon coeur s'accélèrer, ma vue se troubler, je tombe contre le mur . Je ne remarqua même pas qu'il était là.