De la haine à l'amour

chapitre 86

Quand j'ouvre mes yeux, je suis surprise de voir Bryan

J'étais allongé, ma tête était sur ses cuisses et il caressait mes cheveux

On était dans une limousine

Quand il voit que je suis réveillé, il me sourit légèrement

Moi : Bryan ?

Je me redresse

Moi : mon chéri !!!

Je le serre dans mes bras. J'avais les larmes aux yeux

Je me décolle de lui et je met mes mains sur ses joues

Moi (en pleurant) : ça va ? T'as rien ?

Bryan : oui moi ça va mais toi non, tu t'es évanoui

Moi : non ça va, j'ai juste eu peur...

Je le reserre dans mes bras

Moi : j'ai eu tellement peur

Sérieux je voulais plus le lâcher, heureusement qu'il n'a rien. Si il lui était arrivé quelque chose, j'allais mourir

Je me décolle de lui

Moi : qu'est-ce qui s'est passé ?

Bryan : on parlera de ça après

Moi : mais dis-moi quand même à quel moment je me suis retrouvée dans cette limousine avec toi

Bryan : quand tout s'est arrangé et que je suis sorti, tu étais dans ta voiture evanoui. Les policiers m'ont dit que tu t'es évanouie quand tu as entendu des coups de feu et ils t'ont allongé dans ta voiture. Tu es resté dans ta voiture jusqu'à ce que je sorte. Je t'ai pris et on est parti

Moi : j'espère que les coups de feu n'ont touchés personnes

Bryan : non ils ont tiré en l'air

Je souffle

Moi : tu peux pas comprendre la peur que j'ai ressenti

Bryan : y a rien de grave bébé. Demain je t'expliquerai tout, repose-toi

Moi : il est quelle heure ?

Bryan : 23h30

Je mets ma tête sur son épaule et je l'enlace, il me fait un bisou sur mes cheveux

Arrivé à la maison, on a pris une douche et on est allé se coucher

Le lendemain

Quand j'ouvre les yeux je vois Bryan face à moi entrain de me regarder

Moi : bonjour mon cœur

Bryan : bonjour princesse

Je m'assois

Moi : bon dis-moi maintenant ce qui s'est passé

Bryan : ok, enfaite moi j'étais dans mon bureau quand tout ça se passait. Je savais même pas qu'il y avait des cambrioleurs. Quand je suis descendu j'ai vu tout le monde effrayé, j'ai vu deux gars cagoulés avec chacun une arme en main. J'étais étonné. Je me suis direct dit que ce sont soit des clients soit des gens qui travaillent dans la firme parce que la firme est trop sécurisée pour que des gens cagoulés comme ça entrent donc comme ils m'avaient pas vu, j'ai envoyé un message aux gardes. Je les ai déconcentré de saute à me battre avec eux et je leur ai arraché leurs armes

Moi : t'es malade ??? Tu t'es battu avec eux ?!

Bryan : Ouais mais ils sont nuls ils n'ont même pas pu me donner un coup bref après les gardes et quelques policiers sont entrés et les ont attrapé et j'avais raison c'était des personnes qui travaillaient à la firme