Vérité et punition

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- Quoi ?

- Ton père est mort d'une très violente chute aux … quidditch dit elle avec dégoût.
- Ensuite ta mère chagriné s'est suicidé et t’a laisser toute seule. Donc comme le maître voulais un(e) héritier(e) je me suis dit que j'allais te donner une infime petite chance. Et le maître t’a fait preuve d'une grande aide. C’est grâce à lui que tu est là.
- D'ailleurs pour l’héritière… il fallait juste attendre encore un peu… continua elle pour elle-même.

- Mam…
Devrait je continuer à l'appeler ainsi ? Elle m'a élever certes mais… ce n’est pas ma… mère.
- Ma suge, cela ne doit pas être un obstacle pour notre objectif, comprend tu ? Finit elle en me caressant la joue.

- Qui est cette… vrai ? …Héritière. ? Demandait je tout bas.

- Je ne peut pas te le dire Erregina.
Elle disparue dans une volute de fumée noir, me laissant seule. Dans ces couloirs déserts. Avec mes doutes et ma colère… pourquoi ? Pourquoi me le dire que maintenant ? Et pourquoi ne pas me dire qui est cette … chanceuse pour ne pas dire pute. Ok. Je suis un petit peu jalouse d’elle. Mais cela se comprend n'est ce pas ? J'apprends non seulement que je n'ai pas de parents mais aussi j'ai été… « remplacer » par une autre sorcière de sang purement ténébreuse…..
Toute ma vie n'est que mensonge. « vrai héritière du seigneur ». Que diable ! Je deviendrai la seule et unique mage noire. Moi seule peut être cette personne ! Et personne ne m'en empêchera, même pas l’autre. Un miaulements sinistre sortie de mes pensées. À mes pieds se trouvait la vielle Miss Teigne. Son poil gras et terni dissimulait avec beaucoup de peine sa maigreur. Ses pattes longues n’étant plus qu’un tas d'os tremblait légèrement, et son petit museau était sale.
Je n’ attendis pas trop longtemps avant d’entendre les pas rapide et boitant du concierge. Il fallait que je retourne au dortoir avant de me faire prendre. Je pris conscience alors, que les dortoirs de Griffondor se trouvait dans le couloir ou le concierge marchait…
Je pris donc le couloir à ma droite et couru à perdre haleine. Les tableaux me regardait passer avec surprise mais aussi avec colère, car être réveillé dans la nuit par un élèves n’était pas très sympa…
Le couloir était interminable ! je n'y voyait pas le bout, et je commençais à désespéré. Mais je devais continué. Surtout que le concierge et son chat était derrière moi à me poursuivre.

- Stop !!! Cria Rusard en haletant.

- Chut. C'est pas bientôt fini ? S’énerva un chevalier d'un tableau.

- Oh je vous en pris moins fort ! Il y en as qui aimerait dormir. Disait une autre coquette dame.

Je remercia intérieurement le noir environnant car mon poursuiveur ne me voyais pas.
Des escaliers apparu soudainement à ma gauche et je m'y engouffra. Les escaliers de pierre était rude et étroit. Je manquais de trébucher plusieurs fois. J'entendis derrière moi Rusard faire de même. En plus lentement. En même temps…. Il se fait vieux….
Arrivée en bas, je tombait nez à nez avec la salle commune des Serpentards. Il faut que je rentre ici. Sinon je suis fichu. oui mais…quel est le mot de passe ?
Je me rappelle soudain avoir entendu un préfet parler dudit mot de passe à un première année. Quel était donc ? Allez…
Les pas du concierge devenait plus forts à mesure qu'il approchait. Son chat à ses talons miaulait sinistrement.
Allez…. c’était un nom de serpent...
Naja….
Naja….
Il entamait les dernières marches.
Bientôt il m’embarquerait dans son bureau me coller une retenu...
Le mot de passe…
Naja naja ? Non…
Naja…
Naja…
Naja haje ?
Oui c'est ça !!!!

- Naja haje !

Le chat s'assoit à mes pieds, et me regarde de ses yeux persans, comme s'il attendait l'ordre de me sauter dessus.
Le tableau fit un déclic et s'ouvre doucement. Bien trop doucement.
Le concierge est maintenant à quelques mètres de moi, sa main tendu pour m’attraper.
S'approchant dangereusement, trop vite…
Sa main me frôle au moment où je m'engouffre dans le passage.
Le tableau se referme sur un Rusard sûrement furieux.
Ouf !!! C’était moins une…
Je regarde autour de moi : j'ai tellement rêver d'y être.
Des lampes rondes et verdâtres sont suspendues à des chaînes au plafond de pierre brute.
La pièce est décorée de crânes et d'autres objets semblables, qui lui donnent un aspect extrêmement chaleureux, enfin… pour moi. Vraiment dommage que je sois obligé d’être une de ces Griffondors…
Je vais m'assoir sur un des fauteuils près de la cheminée et continue d'observer ce qui m'entoure.
Bercé par le son du feu et la légère lueur verte, je commençais à m'endormir. Quand tout à coup surgissant des escaliers, un bruit de pas.
Ne pouvait je pas être tranquille cinq minutes ??? Je me cachait donc dans un coin de la pièce et attendis les yeux rivés sur les deux escaliers. L'un menait au dortoir des filles et l'autre, celui des garçons. Au détour de l'escalier de gauche, une élève s’arrêta, et parcouru la pièce du regard. Je me tassa plus contre le mur, et comme elle ne me vit pas, continue sa route. Elle se dirigea vers son dortoir. Je ne me mêle pas des histoires de couples mais franchement, c'est pas comme ça qu'elle va être discrète !!!! M' enfin. Je ferai mieux d'y aller avant que quelqu’un m'aperçois. Je passais donc le tableau et partis d'un pas serein. Sans me rendre compte que l'on l’observait.

....

Zaya PeritierWhere stories live. Discover now