CHAPITRE 18

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J'ai finis.

C'est vrai ?

Oui, tu peux aller te regarder dans la glace.

Je me lève vers le miroir dans ma chambre. Quand je regarde mon reflet, je ne me reconnais pas. Dans me cheveux il y a une couronne de tresse qui passe sur le devant de mes cheveux, il m'a laissé ma frange. Ensuite il a fait une sorte de chignon bas avec une natte épaisse et large, il a ajouté des fleurs dans mon chignon, pour lui donner un coté champêtre. Pour le maquillage, il m'a fait un smokey eye rose, mais c'est très léger, il fait un très fin d'eyeliner noir. Pour mes lèvres j'ai un gloss. Tout est absolument parfait. Jeanne rentre dans la chambre, c'est cheveux long et blond sont bouclés. Elle est maquillé aussi, elle est vraiment belle. Elle n'a pas chargé ses yeux, pour mettre un rouge à lèvres rouge sang.

Alors ce maquillage Gabri... Tu es magnifique.

Merci, tu es magnifique aussi.

Je n'ai pas fais grand chose.

Oui mais pourtant, ce rouge à lèvres te va à merveille.

Merci.

Les filles je ne voudrais pas vous presser mais il est bientôt dix-neuf heures.

Quoi ! Ce n'est pas possibles, dit Jeanne.

Si, nous avons papoté et nous avons pris notre temps. Ok maintenant il faut mettre vos robes.

Ok, Jeanne va enfilé la tienne en première.

Oui.

Elle prend sa robe posé sur le lit et se dirige vers la salle de bain.

Gabrielle tu es le meilleur travaille que j'ai fait.

C'est vrai ?

Oui, tu sais on se voit peu avec ta mère, mais on s'appelle souvent. On parle tout le temps de toi. Tu devrais profiter de ta beauté et le montrer aux autres, si un garçon aussi beau que Simon t'a remarqué ce n'est pas pour rien, c'était à mon avie un signe pour te dire que tu peux tous les faire craquer.

Merci, c'est très gentil ce que tu me dis.

C'est la vérité pourtant.

C'est bon j'ai enfilé ma robe.

Jeanne tu es trop belle.

Merci. Ne perdon pas de temps va enfiler la tienne, dit-elle en me donnant la mienne encore dans sa housse.

Oui.

Je l'attrape, avec mes talons et je vais jusqu'à la salle de bain. Je ferme la porte, je l'accroche au porte serviette. J'ouvre la housse, je me déshabille et enlève la robe de son cintre, j'ouvre la fermeture éclair sur le coté et l'enfile par le bas. Je place les bretelles sur mes épaules, je ferme la fermeture éclair, je me tourne vers le miroir. J'ai l'impression d'être en face d'une version améliorée de moi. Elle me va parfaitement,, tout est absolument parfait. J'enfile les talons rose poudré, je fais deux trois allée retour dans la salle de bain. Finalement ce n'est pas si compliqué de marcher avec des talons. Je me regarde dans la glace pendant cinq bonne minute, je n'arrive pas à me faire l'idée que c'est moi. Ce n'est pas narcissique de dire que je me trouve belle. Je n'arrive toujours pas à croire que je vais au bal avec Simon, j'ai tellement hâte de le voir en costume.

J'ouvre la porte, je rejoins Jeanne et Cal dans ma chambre, ma mère est avec eux.

C'est bon je suis prête, dis-je en touchant ma robe.

Gabrielle Simon et Antoine sont...

Là ?

Ma mère commence à pleurer, elle s'approche de moi.

Ma chérie tu es magnifique !

Merci.

Elle me prend dans ses bras. Une larme m'échappe.

Gabrielle ne pleure pas, le maquillage va être ruiné ! hurle Cal.

Nous rions toute les trois, ma mère essuie ma larme et je fais pareil pour elle.

Maman ça va ce n'est qu'un bal.

Ton premier bal ! C'est la première fois que je te vois comme ça. Je suis heureuse pour toi, en plus tu y vas avec le garçon dont tu as toujours rêvé. Tu vas profité. Jeanne viens là, tu es toute aussi magnifique.

Nous faisons un calin à trois, Cal nous rejoint et chuchote:

Les garçons attendent en bas, je dis ça je dis rien. dit Cal.

Oui on y va.

Ma mère se dépèche de descendre je l'entend parler avec les garçons. Nous nous apprêtons à descendre mais Cal nous arrête.

Attendez je vais vous annoncer, une par une.

Ok.

Il descend tout en bas, il se présente, il demande qui est Simon. Je n'entend pas très bien se qu'ils disent, mais Simon dit:

Elle est toujours belle.

Le rouge me monte au joues. Cal parle fort pour qu'on puisse l'entendre.

Alors je vous présente dans toute sa splendeur Jeanne Scott !

Elle me sourit et descend les marches, je me penche, je vois qu'elle saute dans les bras d'Antoine qui n'arrête pas de la complimenter, ma mère les prend en photo tout les deux.

Pour finir la splendide, l'unique Gabrielle Smith !

Je souffle un coup avant de descendre, j'ai une boule au ventre je stresse, je me place devant l'escalier et descend les marches une par une. Quand je pose mes yeux sur Simon, il me regarde les yeux brillants, la bouche ouverte. Il reste interdis. Il est a couper le souffle, dans son costume noir, il porte une boutonnière vraiment belle, ses cheveux sont coiffés à la Simon, c'est à dire coiffé-décoiffé, j'aime quand il est comme ça. Je l'entend dire :

Woah...

Je lui fais un sourire, il se reprend et s'approche de l'escalier, je reste sur la dernière marche, tout le monde nous regarde:

Gabrielle... Tu... Tu es à couper le souffle. Je n'ai jamais... Rien vu... d'au... D'aussi beau. Je n'arrive même pas à trouver mes mots. Tu...Tu es... Tu es magnifique.

Je réponds par un baiser tendre et profond ses lèvres m'avait manqué. Je l'aime, putain que je l'aime. Je souris contre ses lèvres, nous nous détachons. Ma mère nous regarde les larmes au yeux, Cal est plus que content de son travail, Antoine et Jeanne se regardent amoureusement et nous regarde ensuite.

Allez venez vous deux on a une photo à faire.

Attendez, Tiens Gabrielle, j'ai ton corsage.

Il tend un bracelet, qu'il met à mon poigné, c'est la même chose qu'à sa boutonnière. Je l'embrasse encore une fois, ma mère nous prend en photo à ce moment, nous tout les deux gêné. Il m'attrape par la taille, je place une main sur son torse. Nous sourions tout les deux, ensuite on dit à Jeanne et Antoine de nous rejoindre, nous prenons des photos alors tout les quatres.

Bon les jeunes, il va falloir y aller.

Oui. disons tous les quatres en coeur.

Faites attentions sur la route.

Nous disons au revoir à ma mère et Cal, nous sortons et nous dirigeons vers la voiture, mais je fais demi-tour et prend ma mère dans mes bras, qui pleure.

Je t'aime, merci maman.

De rien, je t'aime aussi.

Arrête de pleurer je vais pleurer aussi.

Je suis fière de toi c'est tout et tu grandis, c'est normal. Ton père serait pareille.

Je la sers encore plus contre moi quand elle parle de mon père. Elle me relâche et me dit d'y aller. Je me dirige vers...

Une limousine ? Sérieux Simon ?

Oui, dit-il en me prenant dans ses bras, il fallait une voiture à la hauteur de ma princesse.

Tu es trop mignon.

Je l'embrasse et nous entrons dans la limousine. 

{Terminer} Never really over [français] T.1 Where stories live. Discover now