Le vrai du faux
La vie nous propose des masques oniriques
Soyons réaliste rien n'est plus vrai que le mensonge que couvre une tromperieOn croit que le mensonge est fausseté. Le mensonge cache la vérité dont nous souhaitons qu'elle existe.
.........
un an et plus
tes paroles dépassent mes pensées et parfois les précédent. les phrases s'entremêlent et s'entrechoquent dans un mouvement de délices inattendus.
excuse mes timidités inutiles mes maladresses qui tentent de cacher les blessures d'un passé disparu.
disparaît il seulement ce passé? est-il seulement vrai?
l'est il encore puisque isolés dans notre présent incarné nous sommes les seuls à le porter, comme un fétus inutile et lourd ce passé s'évapore au fil des vagues.
j'ai honte de la fierté de notre douceur mutuelle, embrasée, survenue d'une réalité à peine crédible. elle nous embrasse. elle nous torture en changeant tout, présent, passé , avenir?
pourtant rien de physique ne bouge ... les couleurs du monde se teintent de merveilleux. restera-t-il léger ? où nous emportera t il vers des côtes encore inconnues.
je fixe l'horloge qui nous surveille.
rien n'est plus fort et pourtant nous doutons de tout sauf de cette fièvre qui nous appelle.tes paroles dépassent mes pensées et parfois les précédent. les phrases s'entremêlent et s'entrechoquent dans un mouvement de délices inattendus.
les attendre ou ne pas les attendre.voici la question.
—///-////
l'éphémère et la spontanéité se disperseront dans nos pensées. resteront ils dans les roues des souvenirs. toute redd as lire meurt et revitabstraction faite
le prince arrive
il survient sans bagage sans autre richesse qu'une soif immense. grande comme un lac, comme une mer vide ouverte à l'infini.
l'amour flotte, évanescent, présence imperceptible, vide de sens, cherchant le chemin pour s'incarner dans une spiritualité indéfinissable.on cherche sans demander.
le présent s'éternise et disparaît dès que donne minuit.
le prince partage son être à qui attend son souffle provocateur.
gentille et naïve approche qui envahit celui qu'il étreint langoureusement.
je suis prisonnier d'un voile qui m'ouvre à la liberté et aux innombrables scénarios. ils n'ont de sens que dans son langage singulier.le prince de survient pas, il surgit de nulle part et de partout à la fois. il n est pas attendu - il est souhaité, a peine imaginé dans une fin de nuit, fin de parcourt, veille de naufrage ou d'égarement ultime.
pourquoi l'attendre sil est irréel, pourquoi l'oublier puisqu'il est présent dans le réel imaginaire, entre veille et sommeil, entre volonté absolue de vivre et mort-imminente.le prince ne sait rien donner, il offre sans possèder. il connecte les choses, le sens des choses, le rêve et le scenario. il regarde le monde sans le voir et pourtant ses yeux voient tout de l'intérieur.
la relation apparait avec le rêve comme s il avait toujours existé imperceptiblement...
les rêves apparaissent et meurent. on ne sait que rarement distinguer le désir, le rêve, l'imaginaireimperceptible trame d une rivière qui coule pour mourir puis revivre.
![](https://img.wattpad.com/cover/191565474-288-kd10883.jpg)