Chapitre 4

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Je le regardai longuement, hésitante à lui répondre. Jusqu'à soupirer, et de me confier. Tant pis pour ma naïveté habituelle...

- Je ne sais pas, monsieur. J'aimerais vous répondre, vivre librement. Mais une vie sans danger, ne me semble plus possible, non ? Sourie je désoler. Malgré mon état de hier, si vous m'avez ramené ici, c'est pour une bonne raison. J'ai été torturée par un pirate, jusqu'à en perdre connaissance. Mon réveil se fus dans une sorte de capsule ensanglantée ; pis... il avait une folle qui me nommer l'expérience 380. Que j'étais, une formidable expérience génétique, qu'elle m'avait enfermé pendant 14 années. Je ne connais rien de ce monde, pis... vous m'avez dit que mon apparence est anormale !

Il se tu un court instant. Avant de soupirer, et d'hocher la tête. J'avais vu juste, la marine ne me laisserai jamais ma liberté. Maintenant, que je suis leur jouet.

- Je vous propose ceci : Devenez un soldat de la marine, en échange de ma protection, et d'un entrainement personnel donner par moi-même.

- ... J'accepte. Réponds-je sur le tas. Quel est votre nom, l'ancien ?

- Monkey D. Garp, gamine.


Suite à cette conversation le temps passa une nouvelle fois. Mais cette fois-ci, j'étais bien encadré. Plus les grains de sable du temps tombé, plus je devenais forte. Avec Garp comme instructeur, j'appris la rigueur et la discipline d'un soldat.

J'appris à manier convenablement une arme blanche, aussi que le maniement du katana, le naginata. Celui-ci fait presque deux mètres en longueur, il est très efficace dans le combat à mi-distance. 

J'ai gagné en assurance, et en respect. Surtout en force musculaire, et en corps à corps. J'ai appris plus sur ce monde, pendant mes missions donner par la marine. Qu'il eût des cons partout, que soit du côté des pirates, des civils, ou bien des nôtres, la marine.

J'ai vu beaucoup de belles îles, de très beaux paysages. De belles rencontres professionnels et personnels... mais pourtant, malgré mes deux années de fier service rendu pour la marine, et le gouvernement mondial, je me sentais comme un oiseau en cage.

Et aussi, Smoker. Les dires de cette folle sont vrais, il ne se souvient pas de moi. Malgré que je lui eusse fait, rappeler notre promesse. Pour m'avoir reçu un râteau digne des grands films de romance.

Que je m'en souvienne de la scène de hier... Ah oui ! C'était sur l'île de Choc Öland, je rentrai de mission d'espionnage avec ma troupe d'hommes. Et c'est là, que je l'ai vu en terrasse, son regard fier, et dur. Sa frimousse de grognon, je le reconnu tout de suite.

Je fonçai sur lui, gros sourire aux lèvres. Alors qu'il fuma deux cigares, et buvait une bonne bière. Je lui sautai au cou, essayant de former une phrase sans succès. Je vous fais la scène :

- Je déteste les pleurnicheuses, dégage. Glissant sa main sur ma hanche, se redressant avec moi.

- Je... c'est vrai, que tu m'as oublié. Sans comprendre le pourquoi, que je me suis jeté dans ses bras, ne touchant sol.

- O-Oh, mademoiselle, lâchez-moi ! Dit-il un peu gêné, sous les rires de mes collègues.

- Tu m'as manqué, tellement manqué... Le serrant d'avantage, éclatant en sanglot.

Les rires se coupèrent lentement, surpris de ma réaction. Je pleurai à m'en couper souffle. Je sortais de véritables cris de souffrances et de douleurs. Sortant ma peine et ma peur de mon réveil dans ce caisson, et d'avoir raté quatorze années de ma vie. Mais surtout, de l'avoir retrouvé.

- Enfin, mademoiselle, calmez-vous. Je suis là, doucement. Me caressant le crâne maladroitement.

N'arrivant à aucuns résultats, Smoker déstabiliser, ne voulant lever la main sur une femme, me murmura des choses douces à l'oreille. Me calment peu à peu, dans ses bras, il me reposa au sol délicatement. Pis ont se fixa, rouge pivoine tous les deux, comme deux adolescents. Du moins, pour moi. Il est âgé de 34 ans, comparé à mon âge, 20 ans.


A child's promiseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant