Il n'avait rien trouvé pour culpabiliser Maxime. Celui ci souffla d'avoir réussi son coup. Et il savait que le jeu était bientôt fini. Il ne restait que la "Scène du cerisier". Il avait hâte d'être à demain. Il s'endormit avec cette pensée.
Le lendemain : Vendredi 7h00
Maxime se réveilla de bonne humeur ce matin là. Il avait tué un gentil petit garçon mais il souriait quand même. Il partit à l'académie à pied en chantonnant. A son arrivée, il découvrit une lettre dans son casier. La voilà :
Ups! Tento obrázek porušuje naše pokyny k obsahu. Před publikováním ho, prosím, buď odstraň, nebo nahraď jiným.
Maxime trépignait d'impatience. Il se rua en cours en sautant comme un gamin. Un membre du comité de discipline l'interpella, c'était la plus sympa. - Gamin, faut aller dans le gymnase pour Budo Masuta. - Ah oui pardon !
Maxime se rua vers le gymnase pour l'enterrement de Budo. Il n'y avait rien d'intéressant. A part un loooong discours du directeur, quand il finit il ferma le club d'art martiaux.
A la fin des cours
Maxime sortit de la salle en chantant et en sautant partout. Il bondit vers le cerisier avec un énorme sourire. Comme prévu, Oka l'attendait.
- Salut Sora... - Oka ? C'est toi ?! dit Maxime, bon acteur. - Oui...c'est moi... - Pourquoi m'as tu appelé ? - Je...hum...si tu...
Elle soupira
- Vas y, je t'écoute ! sourit Maxime. Lance toi ! - Ok...que dirais tu de...de vivre notre vie ensemble ? Sora, je n'ai jamais ressenti ça...j'ai peur...Je ne sais pas ce que j'ai...dis moi la vérité, m'as tu jeter un sort ? Je n'arrive plus à contrôler mes émotions, tout ce que je veux c'est être avec toi, pour toujours... Dit moi, veux tu être avec moi pour toujours ?
Maxime la serra contre lui. Et profitant de leur étreinte, il l'embrassa.
L'instant d'après, Maxime se réveilla dans son lit avec sa Oka dans ses bras. Dans sa chambre. Tout était normal.
- Ça n'était qu'un rêve ?! Ça semblait si réel pourtant... - Maxou, ça va ? demande Julie en entrant dans sa chambre. - Julie !
Maxime se jeta dans ses bras. Celle-ci sursauta.
- Contente que tu ailles mieux ! rit-elle - J'irais toujours mieux où que tu sois ! C'est toi ma Oka Ruto !
