VIII ~ Les Larmes D'affections

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Il me leva, me portant, en me tenant par les cuisses, tout en abandonnant mes fesses au même moment pour me faire sortir de l'eau.

En me portant, l'antre de mes cuisses embrassaient ses abdos fort et dure, pendant que mes pieds touchaient ses lombaires tout aussi contracté et incassable.

Je sentais chaque muscle de Steve se contracter sous des mouvements assuré et parfaitement effectuer avec mon monde.

Quel homme ce Steven Rogers, Bucky aurait du coucher avec lui quand il en était encore temps.
Quand il aurait pu encore l'atteindre.
Steven Rogers était maintenant marqué au fer rouge par mon appartenance.

Steve était, est, et serait toujours parfait !

Synchroniser avec l'environnement, possédant un corps de Dieu, pouvant repousser une armée d'une seule et unique main !
Même Thor ne lui arrivait pas à la cheville, ce n'est pas pour rien que Steve avait câliner de sa mains droite le magnifique marteau du dieu.

Pourtant, quand Steve arriva près du lit, il me déposa doucement sur le lit, pour me faire l'amour tendrement.
Il rentra en moi sans jamais décroché de mon visage, pour savoir quand et quoi faire.
Il embrassa mon front, mon nez, mes lèvres, mon coue, mon torse, mon cœur, tout ça dans un mouvement de hanche tout aussi excitant, qu'apaisant pour que je sois plus proche de lui...

Quand il essaya une première fois de me pénétré, malgré la douceur de ses gestes, je ne pus m'empêcher de paniquer un peu.
Juste un peu car on le sait tous, je suis Tony Stark.

- Tony calme toi, respire !

C'est ce que je faisais non de dieux, mais son ton suave me rassurait malgré tout, et quand son amour réussit à rentrer en moi.
Je l'acceptais si bien.

- Continue plus loin, plus loin, Steve c'est bon !

Il souriait bêtement.
- Je sais Tony.
Dit- il, tout en embrassant un à un mes paupière fermé et mouillé dû au plaisir.

Aussi bon que sa langue qui faisait des merveilles, comme nos coups de hanche qui nous hunissait toujours et encore plus.
Je le sentais comme entièrement en moi, sachant que tout son corps ne pouvait entrer en entier dans mon être.
Pourtant je l'aspirais, comme si cela était possible.

Puis tremblant de fatigue et d'amour, il se laissa tomber sur moi.
Comme si la mort l'emportait.
Laissant s'allonger sa tête dans le creux de mon épaules, pour me faire un léger sucon sur la peau de mon cou.

Je sentis une larme couler, d'amour ou de tristesse, je ne savais pas.
Un peu des deux sûrement, car maintenant, le grand Captaine America, partait en sanglot dans mes bras, sans jamais cesser de répéter qu'il était le coupable de tout se carnage.

Je le rejoingnis dans ses larmes.

Culpabilisant de l'avoir accuser, culpabilisant de l'avoir abandonner, lui ou Peter, culpabilisant d'être comme mon père...
Quand il sentit mes larmes couler il dit simplement:

- Nous allons aller les chercher, ensemble !

Il souria de nouveau, les yeux encore humide, avant de déposer un baiser sur mon front.

Puis dans ses bras fort et muscle, il prit tout ses doutes, tous les hésitation pour les jeter hors de son âme, et me prendre encore plus fort dans ses bras.
Comme pour pouvoir me transmettre sans encombre tout le positif que je lui avais apporté en lui faisant l'amour.
Je l'aime...

////

Nous n'avions pas dormi, restant tout deux à regarder le plafond.
La nuit avait été longue, et mouvementé.
Satisfaisante et dévastatrice.
J'avais épousé les lèvres de mon Captaine peut être toutes la nuit, alors que mon cœur se brisait du départ de Péter qui me semblait être il y a tout simplement quelque minute.

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