Amis

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Non, non, non, non, non ! Où était-il ? A qui appartenait se sang ? Je remontai plus vite que je n'étais arrivé et fonçai de nouveau vers la chambre de Shen, mais évidemment, il n'était plus là. Alors que je courais partout sans vraiment avoir de but, je tombai sur Thaïs.

Sumire: Ou est Shen ?

Thaïs: Avec le blond, mais je ne sais pas où ils sont aller.

Je vis dans son regard qu'elle me mentait.

Sumire: Et où sont les autres ?

Thaïs: Les autres ?

Sumire : OUI ! Ceux qui l'accompagnaient !

Thaïs : On les a laissé partir.

Elle me mentait encore, je le sentait.
Je ne pouvais plus me retenir. Je lui attrapai soudain le col la plaquant violemment contre le mur. J'approchai mon visage du sien en signe d'intimidation.

Sumire : Ou sont-ils ?

Thaïs : Je t'ai dit que...

Sumire : Je veux la vérité !

Thaïs détourna le regard pour ne plus croiser le mien. Elle savait où se trouvait les autres, mais elle semblait avoir peur de parler. Je relâchais alors ma prise, je ne voulais pas réussir en l'intimident.

Sumire : Bien, je les trouverait moi-même!

???: Moi je sais où ils sont. Suis moi.

Je me retournai en entendant la petite vois frêle derrière moi.

Sumire : Merci Nué.

Nué, se contenta de me sourire. Il attrapa ma main me forcent à le suivre. Je ne me fis pas prié pour lui emboîter le pas.
Il me conduisit à travers les étages et divers couloirs. Alors que je m'imaginais devoir passer ma vie à les chercher, Nué s'arrêta enfin derrière une porte en bois.

Nué: Le grenier.

Je tentai, d'ouvrir mais la porte restait obstinément à sa place. Je passai mon doit sur la serrure.

Sumire : Il faudrait une clef.

Nué se frotta le menton en signe de réflexion.

Nué: Avant, tu arrivais à crocheter les serrures. Tu ne sais plus faire ?

Je le regardai un peut dépiter, je ne me souvenais même plus l'avoir un jour fait.

Nué: Essaye quand même. Cette porte, tu là crochetée une centaine de fois quand on était plus jeune, peut-être que tu y arriverais.

Il me tendit deux épingles à cheveux sur de lui. Je la prix même si j'étais persuadé que ça ne mènerais à rien. Alors que je les glissai à l'intérieur, une drôle de sensation m'envahissait, comme une impression de déjà vue. Mes mains bougeaient presque instinctivement. La serrure rendit l'âme avant que je ne comprenne complètement ce qui m'arrivait.
Alors que j'entrai dans la pièce sombre, une jambe vola jusqu'à mon visage, heureusement que je semblais avoir de bons réflexes. J'attrapai sa jambe pour la bloquer avant de commencer à la reposer doucement, mais mon action fus interrompue par deux bras qui passèrent dans mon dos pour m'immobiliser. Je ne pue me dégager de la prise. La jeune fille a qui j'avais pris la jambe sortie de l'ombre, elle avait les cheveux noirs et des yeux corbeau dans lequel j'avais l'impression de me perdre. Elle portait des lunettes rouge qui donnais un étrange contraste avec son visage si sombre. L'homme derrière moi avait les cheveux également noir et portait une étrange coupe en forme d'ananas, il me scrutait de ses yeux vert un peut perturber par la situation.
Le corbeau m'attrapa le col et montra son point pour que je comprenne mon impuissance.

[Boruto x Sumire] Toujours se même regard Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt