cҽ́lҽsԵíղҽ [TERMINER]

𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐥

Le volcan se réveille de terreur.
Son esprit et sa conscience reviennent brusquement à la réalité.
Elle voit ses bras embaumés de gros pansements blancs qui prennent quasiment tout l'avant-bras.
Mais la douleur et à vif, une douleur qu'elle avait presque oublié avant de revenir à la vie.
Elle aurait préféré ne jamais le revivre, mais le destin ne voulait rien n'entendre.

Célestine prit conscience que ce n'était pas encore l'heure, que c'était encore trop tôt, que la mort ne voulait pas d'elle aujourd'hui.
Elle pleura à l'idée de ne pas pouvoir encore partir, pourquoi refuse t'on son envie de vouloir s'en aller ?.
Elle qui est si fatiguée à l'idée de continuer à avancer, alors pourquoi ne laissons pas s'arrêter pour de bon.

À bout de force, on la soigne à coup d'antidouleur et d'antidépresseurs pour pas que Célestine sombre à nouveau.
Célestine est fragile, à tout moment elle peut de nouveau menacée de se brisée.
Il faut la prendre avec délicatesse, faire attention aux mots, aux gestes qui peuvent la heurter.
Au risque que Célestine s'enferme un peu plus en elle et que les choses s'aggravent.