en réalité, tu te la pétais tellement.
je te courais après,
comme un bon toutou.
mais, eux, au moins,
ont le mérite d'être aimés.contrairement à toi et moi.
finalement on est devenus lasses.
lasses de danser cette valse infernale.toujours un pas en avant,
et au final trois pas en arrière.
on ne peut pas tenir le rythme,
pourtant c'était toi que je suivais,
toi qui semblais tout connaître,
d'un air si assuré.le même air que tu prenais,
quand je goûtais tes sourires.
VOUS LISEZ
MAUX ROSES
Poetry━━━━━━━━━━━━━━━ On était si laids à la lumière des étoiles. On ne se repaissait que dans le bassin sombre du néant. On était le paroxysme de la vie et les péchés du monde se concentraient en nous. On était nous. Avant de n'être plus rien. ━━━━━━━━━━...