{ Bonne lecture }
Chambre sombre au lumière rouge une ambiance qui rappelle l'enfer où je vais brûlé moi et mes animaux de compagnie.
J'ouvre cette immense cage en verre elles sortent et grimpent sur moi, mais cobra les dépasse il arrive en premier sur mes épaules. Leurs peaux collé à mon torse nue me montre combien je suis puissant.
Je caresse la tête de Cobra la porte s'ouvre à la volé je lâche un soupir.
Qui ose me déranger quand je suis dans ma pièce préféré.
Moi : quand je suis ici j'aime pas qu'on me dérange je crois que tout le monde le sait.
Mère : c'est urgent.
J'attrape les serpents qui grimpe sur moi je les mets dans leurs cage je laisse Cobra sur mes épaules.
Je me lève de ma chaise pour faire face à ma mère, je caresse Cobra
Mère : un jour on va perdre un membre de cette famille.
Moi : comme si c'est important pour toi " maman"
Mère : bien sur que je me fais du soucis pour vous et spécialement toi mon aîné.
Elle pose sa main sur ma joue que j'enlève brusquement.
Moi : y'a quoi ??
Mère : ton père t'appelle Shihab et Sultan sont déjà présent avec lui.
Je lui fais signe de sortir avec ma main je remets Cobra à sa place ensuite je sors de cette pièce en fermant bien la porte pour que personne ne peux rentré.
Moi je peux dressé les serpents mais les autres ne peuvent pas, en plus j'ai beau les contrôler avec les autres ils sont dangereux et bien sûr je crains sur eux.
Je rentre dans mon dressing j'attrape un t-shirt que j'enfile rapidement ensuite je rejoins mon père qui se trouve dans son bureau.
Je toque trois fois avant de rentrer l'atmosphère est très tendu je peux entendre la respiration de mon père.
Mes frère leurs têtes sont baissé, dans quoi on a commis un méfait.
Papa : Cobra avance avance.
J'avance vers lui la tête haute rien absolument rien peut me faire rabaisser la tête, je regarde mon père dans les yeux qui dégage une rage immense.
Papa : l'ennemi à réussi de rentrer dans notre territoire.
J'ouvre grand les yeux comment ils ont pu, je fronce les sourcils je serre mes mains c'est une très grande gaffe malgré tout je tiens au regard de mon père.
Moi : ils ont volé combien ?
Papa : trois garage rempli jusqu'au bout.
Moi : vous avez trouvez l'espion
Papa : pas encore.
Moi : d'accord je sais quoi faire.
Papa : demain tout sera arranger, demain compris.
Je hoche la tête je fais signe à mes frère de me suivre ils marchent derrière moi.
Moi : je veux plus voir vos tête baissé compris.
Sultan : Oncle Hazim rugissais tel un lion dans une cage on le respect trop.
Shihab : tu connais notre père plus que nous, quand il est dans cet état vaut mieux la fermer.
