Découvert {Tome 1} (fic') TERMINÉ

8. Nouveau jour.

Marinette :
Je me réveille en tentant de hurler de douleur, mais aucun song ne sort de ma bouche.
Mes yeux s'ouvrent, et je suis aveuglé par la lumière vive présente ici.
Je veux regarder autour de moi, mais une sorte de collier cervicale m'en empêche.
Alors je ne peux voir que ce qu'il y a en face du lit sur lequel je suis :
Un mûr blanc, une télé éteinte sur un petit meuble en bois, et une photo.
Sur cette photo, il y a moi et Adrien, ainsi que tout nos amis.
Cette photo est récente.
Nous l'avons prise lors d'une sortie au parc d'attractions le plus proche de notre ville.
Mais d'ailleurs, quelle jour sommes nous ? Et où suis-je ?
Cette pièce ressemble à une chambre d'hôpital. Ça doit sûrement être ça.
Et tout les événements qui m'y ont amené me reviennent :
Le Papillon qui me kidnappe et découvre mon identité, Adrien lui aussi découvert par Secrète, l'Akumatisé, Nathalie qui m'étrangle...
Je porte mes mains à mon cou, entouré de ce collier cervicale bizarre.
En dessous, il doit y avoir un cou plein de bleus ; et puis, ma tête.
Elle c'était cogné ce jour là.
J'y amène aussi ma main, et je découvre un long pansement sur mes cheveux... À moin qu'il n'y en ait plus !
Je suis horrifiée par cette idée.
Je baisse un peu la tête, et  je vois une couverture bleue nuit recouvrant mes jambes. J'ai tant de questions sur ce qu'il c'est passé...
Je me sens soudain très chamboulée, j'ai la tête qui tourne et ma gorge me parait serré, comme si il y avait encore les mains de Nathalie dessus.
- A...A l'ai...aide...
J'arrive à peine à articuler une phrase.
J'appuie donc sur ce qui me paraît être un bouton qui avertit les infirmières.
Au bout de deux minutes, un homme en blouse blanche entre, inquiet.
- Oh ! Marinette ! Vous êtes réveillé !
- P-Poirquoi je-je ne-ne le serais p-pas ? Articulai-je.
- Ne forcez pas sur votre gorge, elle est encore un peu fragile.
Il n'a pas répondu à ma question.
Sur mon aire interrogateur, il dit :
- Je suis le Docteur Towns. C'est moi qui s'occupe de vous depuis votre arrivée.
- Et depuis q-quand je s-suis ici ?
- Environs deux semaines.
Oh là là !!!
Je dors ici  depuis DEUX SEMAINES ?!!
Mais... Et Arien ? Et Chat noir, sans sa Ladybug pour l'aider ? Et mes parents...? Et...?!!
- Doucement, dit le médecin en voyant mon rythme cardiaque accéléré sur l'écran à côté de moi. Vous devez rester calme. J'appelle vos parents ?
- Euh... Avez vous le... Le numéro d'A-Adrien ? Je préférerais le v-voir avant.
- Bien sûr. Je vais le contacter tout de suite.
- M-Merci.
Il sort de la pièce.
J'ai beaucoup trop de question dans mon crâne.
Et seul Adrien pourra y répondre.

                                ***

Quelques heures plus tard, quelqu'un frappe à la porte.
- Entrer !
Ma voix est déjà mieu.
Un beau jeune homme aux cheveux d'or entre dans la pièce de couleurs froides. C'est lui.
- Marinette !
Il ce jette dans mes bras.
- Aïe ! Attention, j'ai encore mal au cou !
Il ce recule et s'excuse,
puis m'embrasse. Que c'est bon de le retrouver !
- Tu vas bien, me demande t-il.
- Oui, ça va. Et toi ?
- Beaucoup mieux maintenant que tu es réveillé !
Nous rigolons, puis reprenons notre serieux. Il faut que l'on parle.
- Que c'est il passé, quand j'ai perdu connaissance ?
Il ce gratte le menton, et répond :
- J'étais très inquiet. Et Nathalie à tout de suite regretté son acte en te voyant pendre au bout de son bras.
Il marque une pause, puis reprend :
- J'ai bien cru que tu étais... Enfin.
Après, j'ai tout de même réussi à neutraliser mon père. Puis, Nathalie aussi. Mais avec elle, je n'ai pas eu à faire grand chose ; elle était à genoux, désolé pour toi, et elle pleurait. Donc c'était plus facile. J'ai appelé les secours et ils t'ont emmené à l'hôpital. Je n'ai pas eu le droit de monter avec toi dans l'ambulance, car tu étais si mal qu'il fallait de la place pour que les secours te guérissent. J'aurais étais un frein. J'ai aussi contacter tes parents pour les prevenirs, puis je suis retourné voir mon père et Nathalie. Ils étaient tout deux à moitier assommé, attachés entre eux par les même cordes que toi.
J'en ai profité pour récupérer tout les miraculous en leurs possession.
Je les ais rendu au maître, j'ai arrêté Secrète, et je suis allé te voir plusieurs fois durant ces deux semaines.
- Merci pour tout, dis-je.
- De rien...
Il m'embrasse tendrement le front, puis s'assoit sur le bord du lit.
Heureusement qu'il est là...

Salut tout le monde !
Encore une fois, j'espère que ce chapitre vous a plu !
Je vous conseille d'aller lire la suite !
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Bonne lecture 😉

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