Mon meilleur coup? (H2F)

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Mon Meilleur coup?
J'ai eu plein de prestations différentes, mais je me souviens d'une fois. La plus mémorable des fois. Ho, mon dieu que c'était bon...

Comme la plupart de mes coups, je l'avais rencontré à un bar. J'y trainais 3 soirs par semaine à cette époque. Cela me permettait d'oublier tout le reste. Et j'en étais folle.

Ce n'est pas pour me vanter, mais je me trouve belle. Enfin, je pense être assez attirante pour rentrer accompagnée tous les soirs. J'aime mes formes. Je ne les ai pas toujours aimées, c'est sur... Mais j'ai vite appris que les autres les aimaient, eux. Que c'était une arme. Mon visage à lui seul faisait tomber les plus romantiques. Et mon corps qui faisait tomber les plus "intéressés". Je suis persuadée que j'aurais pu être une mannequin (bien que cela ne me donne pas particulièrement envie) si le mannequinat n'était pas centré uniquement sur la maigreur maladive de ses modèles.

A cette époque, je pensais que je n'avais de valeur que grâce à cette arme.

Ce soir là, je rentrais avec un homme. Je me souviens bien moins de son visage que de sa performance. Il était blond, je suppose? On faisait presque la même taille quand je retirais mes talons, même s'il restait plus grand. Je me souviens qu'il avait de larges épaules qui m'ont attirées. Je pense que c'est tout ce dont je me souviens.

Peut être mes hormones accéléraient les choses, a cette période du mois, beaucoup de choses m'excitaient et je ne pouvais attendre de le dévorer.  Tout le chemin jusqu'à chez moi... J'étais à a bout. Je le dévisageais, le regardais sous toutes les coutures. Je me sentais déjà excitée...

Nous étions chez moi, je l'ai d'abord invité à boire. Je lui aurais sauté à la gorge si je m'étais laissée allée, mais la politesse m'y obligeait.

Une fois eut-il fini, je pris sa main, sa grande main que j'aurais pu admirer plusieurs minutes, et le conduisit dans mon antre, ma chambre, le lieu de tous les miracles.

J'aime d'habitude prendre le dessus, je ne faisais pas toujours confiance aux autres pour me procurer du plaisir. C'est qu'il leur arrivait de finir avant moi et qu'ils n'effleurent même pas l'idée de me faire finir.

Mais, cette fois ci... Nous nous sommes mutuellement déshabillés. Je commençais à mouiller, mais pas suffisamment encore pour....

Pour qu'il rentre. Cela m'aurait fait mal. Je lui ai dit. Il a pris le dessus. Il a commencé à effleurer ma bouche avec ses lèvres. Mon dieu, ses lèvres! J'en rêve encore...

Je les ai mordues, très légèrement quand il m'embrassait. Il était au dessus de moi. Il s'approcha de mes oreilles. Elles sont si sensibles! Rien que lorsqu'il respirait, je frémissais. Il commençait à les lécher quand je commençais à gémir très faiblement. J'aimais ça. Il le sentait. Tout en jouant avec le bout de mes seins, avec le bout de ses doigts, Il descendait sa bouche le long de ma nuque, je frémissais. Mes jambes se sont resserrées. Il a descendu sa main en bas, Il a mis quelques secondes à trouver "le bouton magique" comme je me plais à l'appeler. (Aussi bien connu sous le nom de clitoris. Oui je sais que vous savez ce que c'est, mais pas tout le monde aurait pu deviner, génie.) Il commença à l'effleurer. Doucement, légèrement... mais chacun de ses maigres contacts me faisaient frémir, plus fort encore. Je sentais sur ma cuisse, son membre gonflé.  Je mouillais, presque assez. Il continuait ce mouvement, me léchant le cou, me caressant le clitoris. Doucement. Ses doigts tournaient autours, puis allaient de haut en bas, dans des petits mouvement légers.  Il leva ensuite sa tête et se rapprocha de mes seins. Il en pris un dans sa bouche. Il le lèche, d'en bas jusqu'au bout. Puis le pris dans sa bouche et le suçota, en continuant ses caresses. Mon clitoris était gonflé. Je gémissais, mes yeux ne s'ouvraient que très rarement, je le sentais, je le ressentais, je gémissais. Ses doigts descendirent, alors que j'allais lui demander de continuer, il effleure l'entrée. très légèrement. Cela me rend folle. Le fait qu'il n'effleure juste l'entrée me donne envie, incroyablement envie, me rend impatiente qu'il rentre. Qu'il rentre! Mais il continua. Sa tête remonta à mes lèvres. Il continuait d'effleurer. Il faisait le contours et l'entrée de ma vulve pour ré-humidifier ses doigts et repris la caresse de mon clitoris. Encore et encore et encore et encore, je souhaitais qu'il rentre. Mais il caressait, effleurait. Encore et encore. Mais je veux! A ce moment là je le veux tellement... Je le veux! JE le VEUX! Et il le savait, il s'en amusait! Je le regardais avec un regard que je savais affamé. Il continuait de titiller. A jongler entre effleurer le clitoris et l'entrée. Je le veux... Tellement! Qu'il rentre! Il passa le plat de ses doigts, doucement tout du long. Du début de l'entrée au clitoris. C'est un supplice, je le voulais tellement à l'intérieur! Je n'en pouvais plus, je descendis mes mains, me caressant le ventre, le pubis, et atteignant des doigts joueurs, les poussant timidement pour qu'ils entrent. Il se laissa faire. Il rentra un premier doigt. Je gémis de plus belle. Il l'enfonça doucement, le retira vite. Son pouce frottant mon clitoris. L'enfonça, l'agita, le retira. Encore, encore... Mais j'en voulais plus. Oui plus. je poussa un autre de ses doigts. Je me souviens bien de son sourire à ce moment là. Le deuxième, avec le même mouvement. Je me tordais dans tous les sens. Je serrais mes jambes. Ce que ça fait du bien. Je sentais ses doigts à l'entrée, collés aux parois. Un troisième.... Je me sentais brûlante. J'en voulais encore. Puis brusquement il s'arrêta. "est-ce que je peux rentrer?" Je ne pouvais que hocher la tête. J'en voulais encore plus. Je tremblais, je sortis ma boîte à préservatifs, m'assis et l'aida à à l'enfiler. Mes mains tremblais, je mouillais les draps sur lesquels j'étais assise. J'avais hâte. Je n'avais en tête que la satisfaction de mes désirs les plus immédiats.
D'habitude, avec mes coups, je préfère par habitude les bien connus levrette et cowgirl. Je ne fais pas confiance, je préfère prendre le dessus ou ne pas voir leur visage. La position la plus traditionnelle est une de celles qui me semblent inadaptée pour des inconnus. Je la ressentais comme trop intime? Je suppose.

Mais cette fois ci, je l'ai laissé faire, ça ne pouvait pas être si mal? Je me sentais si excitée déjà...

Je me suis allongée sur le dos, et l'invita à m'y rejoindre. (Silencieusement. J'aime quand ils ne perdent pas leur temps à raconter leur vie, peut être souriait-il?) J'ai pris doucement son pénis pour le guider à l'entrée. Il glissa doucement à l'intérieur, par accoups légers. J'ai crié. Je sais que j'ai crié. Un petit cri sec, aigu. Il était dedans.

Doucement, il est sorti jusqu'à ce que juste le bout soit enfoncé. Je suppose, je ne voyais ni ne sentais la différence. Puis il est re-rentré. J'ai gémi de plus belle. Les frottements brusques de son membre contre les parois à l'entrée, enflées me faisaient perdre la tête.

Sa tête était enfoncée dans le matelas, à droite de ma tête, je sentais sa respiration lourde. Ses bras étaient sur mes cotés et tenaient mes épaules. Il continuait, je gémissais...( C'est un euphémisme, je criais, à chaque fois qu'il rentrait. Je suis assez bruyante en général.) Il continuait encore, je criais. Encore, encore. Et encore! encore... Son corps chaud collé au mien. mes muscles des jambes se resserraient et se desserraient, agrippais les tissus de mes draps d'une main, et de l'autre je m'accrochais sa fesse droite pour maintenir le rythme. Hmmm... Je le sentais, à l'entrée, frottant les lèvres. Lorsqu'il rentrait brusquement, ça cognait légèrement le clitoris. C'est ce que je préférais. Je le poussais à recommencer. D'un coup brusque. Je continuais de crier. A chaque fois qu'il rentrait. Encore, un cri, brusquement, un cri, brusquement, un cri, plus doucement, un cri... Je sentais mes cris devenir de plus en plus aigus, j'y étais presque... Plus fort, je voulais, plus fort j'ai chuchoté, plus fort il est allé. Un cri, un autre.. Il gémissait, il aimait ça lui aussi, que ça m'excitait encore plus. Un cri, un gémissement, encore, et encore. Un gémissement encore plus long et aigu, encore, encore!

Un long cri. Mes mains se resserrent tandis qu'il continue ses va et viens.

Il rentre encore. Une fois, deux fois. Trois fois. Je gémis à chaque fois, plus faiblement. Il s'arrête. Ses muscles se relâchent. Il me tombe dessus complètement détendu. Attends quelques secondes puis se relève et s'assoit, essouflé. Retire le préservatif, le jette à la poubelle et s'allonge à côté de moi. Figée dans une même position, exténuée, les yeux fermés. (Il m'a même demandé si j'avais pu finir je savais qu'il s'en doutait mais cette petite attention inattendue m'avait fait vraiment plaisir.)

Il s'est endormi et quand je me suis réveillée le lendemain, il était parti.

Voilà mon meilleur coup jusqu'à ce jour. Quelqu'un qui a pris le temps. Quelqu'un qui a demandé. Quelqu'un qui a fait attention.

Vous allez rire, mais je n'étais pas habituée à autant de considération ainsi.

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⏰ Last updated: Dec 30, 2019 ⏰

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