ÉTRANGÈRE

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              PDV: Hanna.

      Ça commence mal. M'enfermer comme si je  ne suis qu'un animal de compagnie.
Pourquoi, pourquoi tout ceci m'est tombé dessus ? Je suis si triste, mon louis me manque.
    Je me sens misérable, si pathétique. Comment pourrais je me regardes en face dans l'avenir. J'ai peur, si peur.
  Je ne suis qu'un jouets entre leurs mains ! Mon père m'a vendu au plus offrant, ma famille m'abandonne à un parfait inconnu qui de plus ne me voit même pas comme un humain. Il suffit de voir la façon dont il m'a trainé jusqu'ici.
Sa beauté na d' égal que son arrogance.
    J'ai inspecté la chambre avant de m'allonger sur le matelas  pour dormir,j'ai faim , je n'ai rien mangé depuis hier soir, mon estomac se tourne et retourne dans mon ventre et impossible d'appeler le concierge ...

    Une brusque secousse me fait émerger de mon sommeil, mon cœur bat si vite , je suis assez désorienté et une voie légèrement rauque raisonne.
     - bonjour
    Lorsque mes yeux réussissent à s'adapter à la lumière, je peux distinguer mon agresseur.
    Un cri sorti de ma bouche,il était là, en serviettes. Traité moi de pervers mais mes yeux ne peuvent quitter le bas de son abdomen , un V bien souligné, je ne peux que deviner ce qu'il y'a plus bas... Oh merde. Tenant un plateau à la main, il suivit mon regard Suite à ma réaction et mit un peignoir bleu... J'ai jetté un rapide coup d'œil sur moi et dieu merci j'avais toujours ma robe de marié.
        -Ô non ! J'espère que tu ne t'imagines pas que je t'ai touché?!!
       - Non... Non. Dis je rapidement le visage brûlant de gêne. Dieu merci que ma peau soit aussi foncée !  " Les effets de nombreux bain de soleil sur la plage avec un certain homme"
        - bien. Mange, notre avion s'en va dans deux heures.
       - Merci.
Il m'observa un moment avant d'aller se changer dans la douche. Je le trouve plus calme ce matin. Ah louis doit avoir découvert mon mariage. J'aimerais tant le revoir une dernière fois. Je ne sais pas où mais j'ai déjà vu le visage de ce markus quelque part. Et...
      - He ! Tu manges comme une tortue , porte ça et rejoins nous. Mon oncle nous attend en bas. Je m'avance.
    - Oui.
       Et il s'en alla dans son Smoking blanc. Quelques minutes plus tard, j'avais terminé mon repas dont le plateau était encore plein. Je n'ai pas vraiment l'appétit, juste un profond vide.
    Avec la lumière du jour, je peux constater la splendeur de notre chambre, la douche est si bien équipée.
  J'ai pris une douche et revêtit la robe droite de couleur azur. J'ai marché avec beaucoup de peine jusqu'à la terrasse à cause de ces chaussures hautes. Ah! Je le déteste.
     Sur une table , près d'un pilier mes deux compagnons de voyage parlaient.
    Oui, je n'aurai pas dû, mais femme rime avec curiosité. Derrière le béton je pouvait entendre.

    
          - Non! C'est déjà une faveur que je te fais en l'épousant mais il n'y aura rien d'autre.
            - Markus?
            - N'abuse pas Je ne coucherais jamais avec elle. Un enfant encore moins!
" Quelle enfants ?"
    - ce n'est pas de sa faute.
       Ne voulant pas qu'il sache que j'écoutais,  je suis rentré dans la chambre... Près de dix minutes se sont écoulé avant qu'il n'entre .
         - Que fais tu encore là? On y va.
        - Oui
   Je peux lire du mépris ainsi que de la colère dans ces yeux lorsqu'il m'observe ainsi qu'autre chose mais je ne sais pas ce que c'est .
Une fois dans l'avion je pris place derrière les deux hommes. Un dernier regard par la fenêtre pour observer ma patrie,Tout en imaginant ce qu'aurait pu être ma vie avec louis et je m'endormis. Ce fut un sommeil sans rêve, je me sent si fatiguée, pourtant j'ai dormi toute la nuit. A mon réveil ,j'étais seul. C'est une hôtesse qui m'a réveillé car il n'y avais plus aucun passagers.
        En topo, je suis seule, dans un aéroport d'un pays étranger sans un sou en poche. C'est un bon début je trouve.
      En sortant de l'avion, la température chuta brusquement, il fait si froid. Des dizaines de personnes vont et vient dans la salle d'attente. Ils sont si légèrement vêtu, le climat chaud et doux de mon pays me manque.
       Ne sachant quoi faire je me suis assise sur un banc d'attentes, l'esprit lançant des malédiction . Jusqu'à ce qu'une Silhouette familière se rapproche de moi.
 
        PDV:Augusto.

           Nous sortîmes de l'avion, au bout de quelques minutes je me suis rendue compte de son absence
         - Markus où est ton épouse?
         - Hummm.
         - Hummm! Juste hummm,je te rappelle qu'il s'agît de ta femme.
       - Sur le papier seulement. Et si elle se perd c'est tan mieux pour moi.
        Incorrigible celui là ,que reproche t'il a cette magnifique jeune fille ,mais avec le temps il l'aimera ou est -ce à cause de ce qui est arrivé à angela ? Il faudrait qu'il abandonne le passé.

     - tu m'attends ici.
     - Et mon rendez-vous? Peste t il le visage toujours aussi froid.
     - Il fallait y penser avant.
     C'est ainsi que je l'ai retrouvé une heure plus tard sur un banc .
 
      - Enfin te voilà. Désolé pour mon cousin c'est un idiot.
      Elle me suivi sans dire un mots. Devant markus elle n'eut même pas un regard en son égard. Après avoir mis Hanna dans sa voiture je pouvais enfin retourner à mes affaires. Je leur souhaite d'être heureux. Ce qui risque prendre beaucoup de temps!

                 PDV:Hanna

         Une fois son cousin parti nous prîmes  la route. Un silence de mort séjournait dans le véhicule jusqu'à ce qu'il arrête la voiture et se retourne vers moi.
        - Tu ne pouvais pas disparaître de ma vie? Demande t il le regard ancré au mien.
     - Je veux bien mais je n'ai pas un rond sur moi. Être là n'est pas une parti de plaisir... Si tu étais venu aujourd'hui  t'aurais pas eu a m'épouser car mon copain avait déjà réussi à réunir une partie de la somme qu'on vous devais et était en route pour compléter celle qu'a mon père. Mais non monsieur...
         - Tu avais un copain? Donc tu n'es plus... Me coupa t'il
      - Non idiot pour qui vous me prenez!? Dis je... Je ne vous comprends pas, sa vous dérange en quoi puisque vous n'allez jamais me toucher?
         - oublions cette conversation. Fini t'il avant de se retourne.
        Une fois devant une maison encadré par un mur blanc et un portail noir, qui s'ouvrit pour laisser passer la Mercedes noir. Une fois a l'intérieur il s'en alla,  je ne sais où.
   

        

LeS ABÎMEs De L'AMoUR " TERMINE"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant