Chapitre 14: Omaha

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June Johnson


On est actuellement dans l'avion qui nous amène à Omaha. Je suis aux côtés de mon frère qui dort sur mon épaule. Je rigole et regarde mon copain et il éclate de rire en voyant mon frère en train de baver. 


Moi : PUTAIN JACK !! 


Mon frère se réveille en sursaut. Il me regarde sans rien comprendre. Je lui montre la tâche qu'il m'a faite en bavant tel un saint-bernard. Il éclate de rire et je lui tire la langue.


Johnson : Tu es une gamine June !

Moi : C'est de ta faute ! Tu me baves dessus !

Johnson : Oui mais ce n'est pas une raison pour agir comme tu le fais.

Gilinsky : On se calme les enfants.

Johnson et moi : Ta gueule Gilinsky ! 


Le beau brun lève les bras au ciel et il nous laisse nous chamailler tel des gamins. On atterri quelques minutes plus tard. C'est David, le père du brun qui vient nous chercher. Il nous déposera en passant devant chez nous. Une fois dans l'aéroport, Gilinsky prend dans ses bras son père. David nous salut et on va en direction de sa voiture. Je monte à l'arrière avec mon frère. 


David : Alors ça va mon grand ?

Gilinsky : Super et toi ?

David : Ouais. Je suis content de te voir.

Gilinsky : Moi aussi papa.

David : Sinon, ça va l'université June ?

Moi : On peut dire ça.

David : Quelque chose ne va pas ?

Moi : Je n'ai pas très envie de vous en parler si ça ne vous dérange pas.

David : T'inquiètes, je comprends. 


Le père de Jack est vraiment adorable. J'ai toujours adoré sa famille. Ils ont toujours étaient gentils et adorables avec moi, même si leur fils me détestait. Enfin il ne me détestait pas et ils le savaient mais ils auraient bien pu ne pas m'aimer. Le trajet se fait dans la joie et la bonne humeur. Une fois devant chez nous, on remercie David et je jette un coup d'œil à mon copain qui sourit. On se dirige ensuite vers la porte d'entrée et on n'a même pas le temps de sonner que ma mère ouvre la porte. Elle nous sert dans ses bras avant de nous faire rentrer. Il fait froid dehors. Ce n'est pas la Californie ici. On va poser nos affaires en bas des escaliers et mon père arrive. Il nous prend également dans ses bras. On s'installe autour de l'îlot central de la cuisine pour discuter un peu. 


Papa : Vous avez fait bon voyage ?

Johnson : Ouais ça a été. Ils ne se sont pas entretués donc ça va.

Moi : On n'allait quand même pas faire un scandale dans l'avion.

Johnson : Ça ne vous aurez pas dérangés. Combien de fois vous vous êtes attaqués en public ? Enormément de fois !

Moi : Pas faux mais on se calme en ce moment.

Johnson : C'est vrai. Je suis fier de vous.

La soeur de Johnson // Jack GilinskyWhere stories live. Discover now