chapitre 9

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Youssef soit très vigilant ok? me dit mon boss.

Oui boss je ferai de mon mieux.

Bon les gars l'opération se fera vers le camp au centre ville.

Ib toi sa sera chez Salvador le portugais et toi Youssef chez Moussa Traoré.

D'accord c'est bien noter lui dis ib.

Mais, boss vous dites que c'est vers le camp ?

Oui exactement !confirma t'il.

Vous ne trouvez pas que c'est risquer avec ses kilos de cocaïne.

Écoute frère ! Tu n'a pas à t'inquiéter.

Il te suffit juste de garder ton sang froid et de faire comme si de rien était pour pouvoir gérer les choses me dit ib.

Bon sang!dis je en me tenant les hanches.

Écoute Youssef il te faut continuer ce que tu as commencer me dit le boss avec un regard menaçant.

S'il te faut prendre de la clope pour te calmer fait le mais je te conseil de ne pas faire foirer cette opération.

Youssouf ! Tiens me tendit Ibrahim.

Fume!sa te soulagera.

Je me mis alors a fumer comme une personne désespéré.

Je me sentis soudainement bizarre comme toute les fois que je fume depuis que j'ai réellement commencer à goûter ce machin.

Une bouffée de chaleur me transperça le corps et mes yeux avaient virer aux rouges qui se faisait bien voir à cause de ma couleur de peau caramélisé.

Tu te sent mieux demanda ib.

Oui! Lui répondis je.

Ont peut y aller.

Tant mieux!et,tenez vos différents sac nous remetta le boss.

Ib et moi partîmes alors.
Puis chacun de nous emprunta une moto pour vite aller.

Arrivée au centre ville, Ib pris son chemin et moi j'étais là devant le camp.

Je descendis de la moto et paya le chauffeur.

Je mis mon sac au dos et me dirigea vers la grande rentrée principale.

Puisqu'il fallait passer par le camp pour rejoindre le bureau de Mr Traoré...

J'ai appris que cet homme est un grand homme d'affaires et surtout très influent dans ce pays d'après les brefs informations que m'avait fournis ib.

Hey toi là attend cria le garde.

Ils étaient deux arrêter avec leurs tenues bien grader de la tête au pied et sans oublier leurs armes.

Oui lui répondis je avec mon plus grand calme.

Tu va où ? Et avec ce gros sac ?me demanda son collègue.

Je vais derrière ce camp et ce sac est mon outils de travail puisque j'ai que mes affaires à l'intérieur lui répondis je toujours aussi sereinement.

Ici c'est le camp et on nous à ordonner de fouiller tout les passants qui doivent prendre ce chemin.

Ouvre rapidement ton sac monsieur.

Là mon cœur rata un battement.

J'étais inquiet, premièrement je me disais que si j'ouvrais ce sac ils pourront facilement voir les sachet de cocaïne qui pourront me créer d'énorme problème sans oublier de finir en tôle.

"YOUSSOUF À CONAKRY"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant