Amour à 3:14

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Vaste sujet n'est-ce pas ? Il y a autant de manières d'aimer que de personnes sur Terre. Difficile à croire quand tout se ressemble plus ou moins. Mais j'admet qu'il y a des différences.

Il y a ceux qui s'y prennent comme des tanches, et c'est le vécu qui parle.

Les amourettes de jeunesse qui n'hésitent pas à se montrer en public, ou qui essaient de se cacher et qui ont la pire cachette du monde, ce qui est un poil embarrassant.

Il y a aussi ceux qui font dégouliner leur amour sur les autre, ce qui est plutôt gênant aussi...

Et il y a le pire, les relations toxiques. Et là faut qu'on en parle.
Il existe un type de personnes très difficile à gérer pour moi : les personnes qui ont absolument besoin de l'attention amoureuse de quelqu'un. Le problème de cette personne c'est qu'elle peut être facilement manipulable.
On dit que l'amour ne s'explique pas, que le cerveau suis le coeur. C'est complètement vrai. Le pire, c'est que les victimes de ça ne se rendent pas compte qu'elles le sont...

J'ai déjà vu ces personnes à l'œuvre, elles se croient dans le monde des bisounours. Ou alors, pour ceux qui ont la référence, ces personnes deviennent Papyrus. Et savent comment se termine pour lui la route génocidaire...
Certaines personnes en profitent et donnent une idylle au Papyrus avant de le tuer dans son dos. Mais il ne s'en rendra compte que six ans plus tard...
Ce comportement est destructeur envers la personne en recherche d'attention, mais surtout envers l'entourage de cette personne, qui ne peut qu'observer en silence que leur proche fonce droit dans le mur.

L'amour est quelque chose de toxique, auquel je ne veux pas toucher, je veux garder mon libre arbitre et je n'aime pas les concessions.

Mais message à ceux qui ce reconnaisse en tant que Papyrus de l'amour : faites attention à vos amours, car ils sont peut-être juste de passage, et que s'accrocher est un sentiment horrible où l'on se sent enfermé.

Et pour ceux qui trouvent ça drôle de manipuler les innocents naïfs : juste arrêtez d'être con quoi, j'ai pas à développer plus.

Petite âme perdue... Ma vie, mon mondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant