𝐇𝐚𝐧𝐞𝐢̂𝐚| 𝐀 𝐥'𝐞𝐧𝐜𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐮𝐩𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬.

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Déjà gros disclaimer vos commentaires de l'autre parties m'ont A-CHE-VER j'ai tellement rigoler devant mon téléphone ! Merci beaucoup pour vos retour sur mes réseaux ainsi que vos votes ❤️

🈯️

057 - Lost

H A N E Î A

Tellement je suis dans un état SECOND. J'ai pas réellement prêter attention a ses paroles.

Si je les ai bien entendu tellement ça m'a surpris je l'ai giflée puis je suis sortis en courant.

En passant plusieurs fois mes mains sur mes lèvres pour essuyer.

Babbo: Ha...

- Non.

Mon visage est inondée de larmes, je suis montée dans ma chambre et j'ai fermé la porte en vitesse.

J'ai pris un sac de voyage enfin deux et j'ai commencé à mettre mes vêtements dedans.

Je vois même pas ce que je fais j'ai le cœur brisé. Je finis de faire mes affaires.

Je regarde le temps dehors, il fait nuit noir. Je me change enfile une tenue un peu plus décontractée un pull à capuche noir large avec un jean bleu droit déchiré au genoux et des Converse Dior.

Je me démaquille bien comme il faut, pendant tout ce temps je fais que de pleurer pleurer pleurer.

Je me sent COM-PLE-TE-MENT perdu. Sierra le savait ainsi que Jayden ! Jayden ! Jayden !
Mes parents m'ont menti et Nelson... bref.

Je met un sac banane avec l'essentiel dedans puis j'appelle des gens de la sécurité.

Homme 1: Oui madame ?

- Vous pouvez mettre ses vêtements dans la voiture mais discrètement s'il vous plait. C'est un cadeau personne doit être au courant -faux sourire-

Homme: Entendu madame dans la range rover ?

- Oui exactement. Merci.

Il part ensuite avec mes sacs. Je sors aussi quelques minutes après lui. La maison elle est tellement calme, je ne sais pas où sont passés les autres.

Je devrais même plus les chercher ils le méritent pas. Vraiment pas.

Je lance un dernier regard à la maison puis je sors. Il y'a des employés dehors, je me dirige vers Alfredo et Lila.

- Au-revoir.

Alfredo: -fronce les sourcils- Il fait nuit ma fille oû vas tu ?

- Tu savais que c'était pas mes parents hein.

Il met sa main devant sa bouche. Mes larmes recommencent a coulés.

- Je te faisais confiance Alfredo ! Je te considerais comme mon deuxième père !

Alfredo: Ma ni...