Le paon de la vanité [Meliodas x Oc ] (Arreté)

Chapitre 1

C'était il y'a longtemps pourtant je m'en rappelle comme si c'était hier . Des gamins m'avait sympathiquement poussé dans une brèche entre son monde et le mien . Je m'était retrouvée . Comme une idiote . Blottie derrière un rocher . Tentant de me cacher et laissant couler mes larmes de sang .

??? : Que fait-tu la ? Tu n'es pas un démon on dirais . 

Moi : Hiiiiiiiiii ! Je me suis roulé en boule, faiblement . me tuez pas pitié ...

??? : Je n'en avais pas vraiment l'intention tu sais ... Mais dis-moi . Que fait tu la ?

Moi : Je ne sais pas ! Je veux rentrer chez moi !

??? : Mais ... d'ou tu viens ?

Moi : ... Je sais pas ...

??? : Bon ... Est ce que la d'ou tu viens les gens ont ... des ailes ou euh ... Des super-pouvoirs ?

Moi : ... Non ...

??? : Bon par deduction tu dois venir de chez les humains . On va essayer de te ramener chez toi d'accords euh ...

Moi : Phan . Et toi ?

??? : Meliodas prince des démons pour vous servir .

J'ai ris un peu puis j'ai resseré mes bras contre son corps il fesais bien froid ici, pour un royaume démoniaque .

Meliodas : Hum ? T'as froids ?

 Moi : Un peu ... 

Meliodas : tient ! met ça !

Il me te dis un vetements etrangement doux et chaud

Moi : Merci Meliodas ...

il a ajusté la capuche pour qu'elle cache mes yeux et une bonnes partie de mon visages ainsi que mes cheveux .

Meliodas : Je vais t'emmener dans ma chambre mais il ne faudra surtout pas se faire remarquer d'accords ?

Moi : Oui ! 

Ont avançait lentement jusqu'à arriver au pieds d'un château . Il entra dedans calmement et continua sa route . deux ou trois fois il me poussât derrière lui pour ne pas que les démons qui était la me voit . Puis on arrivât devant une porte . Il l'ouvrit rapidement me poussât dans la pièce puis referma la porte a la volée .

Moi : Que ce passe t'il ?

Meliodas : Rien . Juste mes frères . Ils ne sont pas les plus sympas des demons ... 

J'avais ensuite passé une bonne année avec Meliodas on a appris a se connaitre . Nous faisions des rondes presque tout les jours pour tenter de trouver une brèche ouverte . et un jour ont en a trouvé une . Elle était minuscule . juste assez grande pour me permettre de me glisser a l'intérieure .
J'ai ensuite mené une vie normale . A la recherche de brèches ouvertes . Et des que j'en trouvait une je sautais dedans . A chaque fois Meliodas me disais que je risquait de me faire tuer si je continuait ... Et un jour ...

Meliodas : La situation devient trop critique . Il faut que tu retourne dans ton monde et que tu y reste ! 

Moi : Que ce passe t'il ?

??? : Ah ! Je le savais ! Meliodas tu n'es qu'un traître ! 

Meliodas : Estarossa ... Phan ! Rentre chez toi ! Vite !

Ce jour la . C'est lui qui m'as ouvert une faille . Au moment ou j'allais sauter je me suis retournée ait sauté au coup de Meliodas pour l'embrasser langoureusement . Puis il a souri . C'etait tres triste ... Et il m'as poussé dans la faille .

J'ai continué ma vie . Elle n'avait plus aucunes saveures ... J'avais dit a Meliodas que je ne reviendrait plus alors je me devait au moins de fermer toutes ces failles dangereuses qui mettait en danger l'harmoniende la terre ... Et Un jour alors que je les croyait définitivement disparues j'en ai trouvé une autre . Et je n'ai pas put résister . Je me suis glissée dedans . J'était camouflée et j'ai pénétré en l'enceinte du château . Je suis arrivée a une salle et j'ai entendu la voie de Meliodas .

Meliodas : Ecoutez moi ! Je suis Meliodas la charité ! Chef des dix commandements et ...

Je n'ai pas écouté la suite . Chef des dix commandements ? Il m'avait promis . Il 'avait promis qu'il ne le ferait pas . Que jamais il ne se rangerais du coté de son père . Mais il a menti . Il m'avait trahis . Je suis rentré chez moi et j'ai condamné la dernière faille . Depuis ce jour j'ai tenté de l'oublier . Mais je n'ai pas réussi . Quoi que je fasse je ne cessait de penser a lui, tantôt avec tendresse et pitiez, tantôt avec toute la haine que je pouvais ressentir pour lui. Alors je me suis installée dans une forêt et ai  répandus la mort autour de moi . Comme si cela m'aidait . Et au début c'était le cas . Mais je n'ai pas réussi a oublier .

Et qui aurais put se douter. Que je n'oublierais jamais .