Adiéda

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J'attendais a une table dans le fond du bar. Un coin assez agréable, d'où on voyais toute la salle et pas très loin d'une sortie de secours. 

Orchidia prenait du temps. Peut-être un peu trop, j'espérais que mon père ne l'avais pas assez énervé pour se retrouver six-pied sous terre avec une balle dans la tête et qu'elle soit en train d'enterrer le corps. Mais au fond, moins vite il arrivait, le mieux je me portais, je ne savais pas du tout comment réagir devant lui. Mon camouflage étais désactivé, et quelques hommes étaient cachés en arrière-boutique au cas où ça tournerait mal. J'attendais, et je commençais à m'impatienter quand j'ai entendu un bruit de voiture devant le bar. La porte s'est ouverte et mon père est entré le premier. Son visage est devenu pâle et Orchidia à laissé échapper quelque chose que je n'ai pas entendu, mais je devinais qu'elle m'insultais. 

L'homme que je confirmais être mon père s'est avancé. Je l'ai invité à s'assoir et orchidia est partie chercher des bières. Il a commencé à parler en martéens: 

" Les êtres humain sont vraiment cruels, pourquoi me faire voir le visage de mon fils décédé sur l'un de leurs officiers. "

Orchidia lui a lancé du bar : 

" Je vous entend !! J'avais dis quoi à propose de surveiller ce que vous dites ?!! Ils peut vous comprendre aussi alors essayez de vous tenir à carreaux pigé ? "

Il s'est levé de fureur et a tapé ses poing sur la table en disant d'une voix forte et pleine de   colère : 

" Il y a une limite à la cruauté de votre espèce !! Vous bafouez la mémoire de mon fils en agissant ainsi, c'étais votre ami pourtant !!

- Réfléchissez avant d'agir ou de parler, nous n'avons pas la technologie pour créer de tels hologrammes en si peu de temps,  écoutez plutôt ce que le lieutenant-colonel a à vous dire et évitez d'enterrer votre gamin trop tôt !! "

Orchidia a disparut derrière le bar quelques secondes et j'ai enfin pu en placer une : 

"Asseyez-vous. 

- Je refuse de vous obéir.

- Vous devrez vous assoir si vous voulez que nous discutions de votre fils et de la procédure pour récupérer sa dépouille." 

L'homme ne répondit pas et s'assit. Je remis mon camouflage car me voir sous mon vrai visage ne correspondait pas à sa version de la réalité. 

Orchidia est arrivée avec les bières et à commencé à me parler en anglais : 

"Ça va ? 

- ça pourrait aller mieux. 

- Je vois ça. 

- tu as essayé de lui parler en martéens ? 

- Au point où on en est en quoi ça nous avance ? 

- T'as la chance de pouvoir revoir ton père en vie et en bonne santé, ne ménage pas tes efforts pour qu'il comprenne. J'ai déjà réussis à faire passer la pilule comme quoi t'étais pas mort jeune, je pense qu'il peu accepter ça. 

- Autant commencer par autre chose, ça le calmera. 

- Commence par lui dire que son fils est vivant. Je peux lui montrer des photos si tu veux. 

- Quand est-ce que tu as pris le temps de prendre des photos ? 

- J'ai demandé au professeur au cas où ça pourrait être utile. 

- Tu as pensé à tout. 

- J'ai pensé à ce que je voudrais faire si je revoyais mes parents, et je me disais que je voudrais leurs montrer ce que j'avais fait jusque-là. 

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