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DES FLASHS, ENCORE DES FLASHS, TOUJOURS DES FLASHS, MÊLÉS AUX QUESTIONS INDÉCENTES DE LA PRESSE. Ces personnes payés à être mal polie et à dépasser les limites de la vie privé.
Ali était prête à faire des efforts pour rester auprès d'eux mais si toute leurs sorties public se résumaient à baisser la tête et ignorer toutes ces personnes, alors il y aurait un moment où elle ne pourrait plus se retenir.
Agrippée au bras de Calum —plus fort que prévu— Ali baissait la tête et regrettait de ne pas avoir de capuche. Voilà pourquoi elle n'aimait pas être « bien habiller » parce que les capuches n'étaient pas sur des vêtements « de sorties ». Enfin, elle avait juste mis un jean noir une chemise trop large appartenant à Calum —car il avait refusé qu'elle mette un de ses tee-shirts pourries—, son perfecto en cuire noir et ses boots rouges. Elle était resté elle-même.
Ils avançaient jusqu'à l'intérieur de cette boîte noire, entouré de gardes. Vivement qu'ils soient à l'intérieur, Ali se sentait vraiment oppressée et manquait d'air. Calum sentait ses petites mains se resserraient contre son avant bras toujours un peu plus fort. Ali n'était pas du genre à paniquer vite, mais elle avait cette sensation d'étouffement dans sa poitrine qui l'empêchait d'y voir clair.
Encore une sensation que son coeur se souvenait et essayait de lui rappeler.
Calum accéléra le pas pour entrer à l'intérieur du club, il ouvrit la porte, fit entrer Ali en premier qui dès qu'elle entra retira son petit sac à main de son épaule, puis son perfecto pour essayer de reprendre sa respiration. Elle avait chaud, très chaud. Ali faisait habituellement des exercice de respiration, chose qu'elle avait cessé depuis deux mois maintenant. Calum se sentant impuissant était là, à l'écart en face d'elle voulant se rende utile.
— C'était une mauvaise idée, fit Calum.
— Non, non, c'est bon, dit-elle en inspirant un grand coup. C'est bon, Cal. T'en fais pas.
— Tu aurais pu me dire que tu avais des crises comme ça...
— Je n'en savais rien, dit-elle. J'en savais rien, enfin... pas dans ce genre de situation.
— Ça t'es arrivé une fois, dit-il timidement.
— Ah bon ?
Ali releva la tête vers Calum qui arrivait à lui changer les idées.
— Oui, c'était avec... « Tu sais qui », à la sortie d'un restaurant. Apparemment, un journaliste t'avais posé une question indécente et s'en étais trop que t'as commencé à paniquer et tu t'es évanouie.
