BEL-AIR ET SARAH

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Je le regardai bouche ouverte ...

-Que vas tu faire de tout ça actuellement, dis je.

-J'ai pas envie d'en parler pour l'instant, fit il.

-Ah.. Mais tu ne trouves pas que c'est trop comme somme,dis je.

-T'as raison. Tu retireras 5 millions,dit il.

-Pourquoi tu n'y vas pas toi même,dis je.

Il prit une grande inspiration et me raconta tout.

-Alors là, dis je.

-Je veux pas lui faire du mal,mais plutôt le rendre dingue,dit il.

-Si tu veux mon avis,laisse le comme il est,dis je.

-Tu te rends compte au moins de ce qu'il m'a fait, dit il outré.

-Oui. Mais tout le monde ne doit pas être pareil. Tu peux gérer tes entreprises a distance. Je fus interrompu par mon ordinateur qui émit une signal.

J'y jetai un coup d'œil et passai mes mains  de mon visage a mes cheveux et regardai Bel-Air qui léchait ses doigts.

-Qu'est ce qu'il y'a?dit il.

Je lui tendus l'appareil et il le saisit.

INFO À LA UNE:MORT SOUDAINE DE L'HOMME D'AFFAIRES ET MANNEQUIN BEL-AIR COREY. IL Y'A DE CELA TROIS JOURS. SON FRÈRE A DÉCLARÉ QU'IL AVAIT ÉTÉ BRULÉ ET QUE SES CENDRES AVAIENT ÉTÉ MISES EN TERRE. QUE SON ÂME REPOSE EN PAIX.

Ses larmes coulaient comme pas possible.

Je m'approchai de lui et le pris dans mes bras.

-Calme toi. Ça va aller,dis je.

Il enfouit sa tête dans le creux de mon cou et j'eu la chair de poule.

-Tout ça pour une femme qui ne s'intéresse même pas a lui,dit il.

Il dégagea sa tête et me fixa.  Ses yeux sont d'une clarté incroyable. Des iris vertes émeraudes et bleues électrique me traversèrent.

Il approcha sa bouche de la mienne et combla le vide entre nous.

Nos lèvres s'entrouvrirent  et nos langues  se cherchèrent, se trouvèrent, jouèrent ensemble.

Il glissa ses lèvres sur mon cou et je ne pus m'empêcher de gémir.

-Tu ressembles tellement à ma Sarah,dit il entre deux baisers.

-Ar....rê...t....e.,j'ai un petit ami,dis je.

-Et est-ce qu'il te fais l'effet que je te fais, dit il.

-.....

                PDV DE HEAVEN.

-Owen's,cette histoire est à dormir debout. Bel-Air ne peut pas être mort comme ça.

Il me regarda et fit une mine du genre"Je m'en bâts les couilles".

-Tu veux savoir un truc. J'ai le ressentiment que tu y es pour quelque chose dans cette histoire et crois moi,je vais tout faire pour le découvrir. Je suis le petit frère de
Bel-Air après tout. Si jamais j'apprends un truc louche,je vais te faire la PEAU. Je sortis en claquant la porte et direction l'hôpital. Ma femme va mieux et elle a besoin de moi.

Mon téléphone sonna et je vis a l'écran : LIFE.

Life mais celui qui est prénommé dans mes contacts, Life  c'est Bel-Air.

-Allô, dis je

-Petit frère, c'est moi. Ne crie pas fit il.

-Mais ou es tu?dis-je

-Je t'expliquerai plus tard, dit il.

-Tu es ou.

-Je suis a Boston, chez Dior. Elle m'a en quelques sorte,ramassé dans la rue. Viens tu connais chez elle.

-Okay. Dis-je heureux.