nos cigarettes s'éteignent dans les braises de nos caresses, tout là haut nos corps ne sont plus qu'un semblant de tristesse
des restes d'un amour mort qui s'envolent quand on s'endort, on vole les cris de nos coeurs en chérissant la douleurpluie dans le cendrier de nos baisers abîmés, un amour endommagé dans l'orage qui disparaît
nos bouches se délient noyées dans nos coeurs qui pleurent, nos désirs qui s'enfuient dépourvus de leurs couleurs
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novembre
Poetryl'horizon pleure la mort un matin de novembre, révolution commandé de nos sentiments brûlants mai 2020 -