Quand son réveil sonna, Luna souffla et le coupa directement, elle n'avais pas dormir de la nuit, ronger par le stress et l'angoisse.
Elle frotta ses yeux rougie par ses pleures et s'étira essayent de se réveiller.
Une fois debout et devant son miroir de salle de bain, elle regarda ses bras abîmé eux aussi par cette nuit douloureuse, elle se sentais assez bête d'avoir une nouvelle fois succomber à ses démons.
La jeune fille pris donc un pull rosé un Jeans noir taille haute, se refit de petites bouclettes dans ses cheveux marron et mis un lège maquillage
A peine son gloss appliqué sur ses fines lèvres que l'une de ses amis l'attendais pour se rendre au lycée, elle couru dans les escaliers sous les cris de sa mère et sorti
Luna : salut oniva
Oniva : salut
Oniva était la meilleure ami de Luna, enfin c'est ce qu'elle était sensé être, Luna la détester, en même temps oniva n'avais jamais était tendre avec elle et l'utiliser tout les jours et n'étais jamais là pour elle.
Tout deux pris la route du lycée Luna faisant semblant d'écouter les histoires débiles de son ami.
De son côté Ramiro était déjà arriver, écouteur dans les oreilles, capuche sur la tête les mains enfouis dans ses poches la tête basse.
Il regardais silencieusement les gens, se demandent ce qu'il faisais ici. Il se sentais assez seul.
Ses yeux bleu clair était légèrement rougis du à sa nuit sur son ordinateur à jouer à ses jeux préférés. Ses cheveux encore mouillé après sa douche.
Lorsque il leva sa tête, il aperçu Luna et Oniva, un léger sourire pris place sur son visage fin quand il vit cette fille.
Luna, il connaissait son prénom, absolument rien d'autre et pourtant, il était complètement obsédé par elle.
Lui même ne savais pas pourquoi, mais elle le fasciné.
Il fit tirer de ses pensées lorsque lugo arriva lui donnent un coup d'épaule.
Il souffla légèrement
Lugo : toujours a fond sur cette meuf toi ?
Ramiro : je voit pas de quoi tu parle
Lugo ria
Lugo : pas a moi vieux, tu la dévore du regard va lui parler non ?
Ramiro se contenta de souffler
Ramiro : on a rien avoir elle et moi, elle est géniale et moi je suis rien.
Lugo : dit pas ca t'es un bon gars.
Il leva les épaules
Les deux garçons partir vers leur premier cours, Luna et oniva également.
Pendant toutes la matinée, Ramiro n'a fait que fixer le sourire de Luna, ne sachant pas qu'il était faux, qu'il cacher sa douleur, toute la souffrance qu'elle avait en elle.
Pour lui c'était une fille heureuse souriante et sans blessure.
Mais même si ce sourire était faux, il l'adorer, cela le rendais heureux.
Au final, il l'aimais sans même la connaître.
